1. NASSIMA ET SES FILLES Deuxième partie NAWAL


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Anal Humour,

    ... me la donna en me disant :- garde ma culotte, jusqu’au moment où tu auras tellement envie de me tirer que tu m’appelleras. Cette culotte te rappellera cette chatte que tu viens d’entrevoir qui est la garantie des tonnes de plaisir qui t’attendent. Je suis sûr que tu ne l’oublieras pas jusqu’à ce que tu la possèdes. Même quand tu baiseras une autre fille, ou une autre femme, tu repenseras à cette chatte offerte qui n’attend que ton gros zob.Elle me refila son numéro de portable et sans autre forme de procès, tourna les talons et, en dandinant du cul, elle quitta le bureau, salua Soraya en lui envoyant une œillade moqueuse et s’en alla.Soraya vint aux nouvelles. Elle savait déjà tout, puisqu’elle avait tout écouté et entendu. Mais elle me fit quand même répéter toute l‘histoire et me demanda ce que j’allais faire de la culotte d’une part et de la fille d’autre part.- Garder la culotte et me taper le fille ! lui répondis-je agacé.En vérité je ne savais pas ce que je voulais faire. La fille m’attirait comme un aimant et, par ailleurs, elle me faisait peur. Elle était belle et devait faire l’amour comme une déesse. D’un autre côté, c’était une vraie malade. Je ne voulais absolument pas que sa mère apprenne qu’il s’est passé quelque chose entre nous. Car s’il se passait quelque chose, elle se dépêcherait de le lui faire savoir. C’était uniquement cela le but de la manœuvre. Je dis à Soraya que je me donnais un peu de temps pour réfléchir et quand j’aurai décidé de quoi que ce ...
    ... soit, je l’en informerai.- Tu vas la baiser ! dit-elle. Je te connais, tant que tu ne l’auras pas sautée, tu ne seras pas tranquille ; et elle non plus. C’est certainement la meilleure des choses à faire : désamorcer la bombe en la faisant éclater ! Le seul problème, c’est comment l’empêcher de le faire savoir à sa maman. C’est à ça que tu devrais réfléchir, pas à si tu la tireras ou pas. Cela, c’est déjà réglé dans ta tête depuis longtemps.Je laissai passer quelques jours, au cours desquels je n’arrêtais pas de penser à Nawal et à sa chatte. J’ai gardé sur moi son string que de temps en temps je sortais de ma poche pour renifler son odeur. Il n’avait pas l’odeur de chatte en chaleur que naïvement je m’imaginais et à laquelle je m’attendais; il avait celle de son parfum fort et entêtant, un parfum envoûtant qui collait à ses vêtements et à ses sous vêtements. Cette odeur me remettait en mémoire sa beauté et sa sensualité et me donnait envie de l’appeler. Je résistais un temps et puis me décidai à l’appeler pour la faire venir chez moi et passer avec elle tout un week-end. C’était compter sans son côté pervers. Sachant que maintenant elle me tenait, elle me laissa mijoter toute la semaine, en prétextant qu’elle était très occupée avec son nouvel amant et qu’elle ne pouvait le quitter tout de suite.En fait, ce qu’elle disait était vrai : elle ne travaillait pas et se faisait entretenir par des hommes riches qui bandaient pour elle et qui dépensaient sans compter. Elle habitait un ...
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