1. 54.7 T’en as jamais assez, toi…


    Datte: 28/04/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Le lendemain de cet après-midi magique avec mon beau mâle brun, j’ai l’impression de flotter : je me sens survolté, heureux, euphorique. Dès le réveil, les souvenirs de ses gestes, de ses attitudes, les « images sans image » de ce kif dans la pénombre, remontent à mon esprit, en rafales. Dans ce flot incessant et presque violent, je cherche à retrouver chaque infime sensation, à rallumer chaque parcelle de bonheur. Je veux graver en moi chacune des infinies nuances de ces instants presque irréels. Je veux me souvenir de ce dont mon beau mâle brun est capable, lorsqu’il s’applique. Ce que j’ai vécu hier après-midi est tellement incroyable que j’ai presque du mal à croire qu’il ait été réel. Au fond, ça aurait pu n’être qu’un rêve : à la fois le plus érotique et le plus sensuel qui soit. C’est l’empreinte olfactive de mon beau mâle brun, flottant dans ma chambre, et en particulier sur mes draps, qui se charge de me confirmer que ça s’est vraiment passé. Alors, ce matin, le manque de mon beau mâle brun se fait sentir avec une violence inouïe ; j’ai besoin de le sentir contre moi, j’ai besoin du contact avec son corps, avec sa force ; j’ai besoin de sentir son odeur, besoin de sentir son envie de mec, son envie de moi. Jamais j’ai été aussi en manque « de lui » que ce matin ; le fait est que jamais nous n’avions été aussi loin, et surtout jamais nous y avions été de cette façon : ensemble, tout simplement. Hier après-midi, ce n’est pas uniquement sa puissance sexuelle qui s’est ...
    ... abattue sur moi ; c’est une force bien plus forte, ravageuse : cette force est son envie, non pas de me baiser, mais de me faire l’amour. Oui, j’ai vraiment l’impression que hier après-midi nous avons franchi une étape dans notre relation. Depuis le début de nos « révisions », à chaque fois, et chaque fois d’une façon qui ne ressemble pas aux autres, les rencontres sexuelles avec mon beau mâle brun m’ont comblé de bonheur sexuel ; sa présence, sa puissance virile, son coté dominant m’ont apporté ce dont j’avais besoin ; au fil de nos révisions, j’ai eu la chance de vivre exactement la sexualité pour laquelle j’étais « câblé » ; une sexualité que j’avais cru ne jamais pouvoir mettre à exécution, et surtout pas avec ce garçon qui me semblait à tout jamais inaccessible. Il a suffi que nos corps trouvent le chemin pour se rencontrer, s’unir, se reconnaître, pour que je découvre un bonheur sexuel d’une intensité à m’en rendre fou ; mes fantasmes, mes envies étaient là, précis, sauvages, brûlants à en faire mal ; j’avais trouvé mon mâle, le maître de mon plaisir, mon alter-ego sexuel, érotique : ça en était presque troublant. Mais là où ça devenait carrément déroutant, c’était lorsque les envies, l’instinct naturel, l’instinct « mâle » de mon bobrun devenaient parfois, souvent, le révélateur de certaines de mes propres inclinaisons, inclinaisons enfouies ou même ignorées jusque-là, poussant nos ébats bien au-delà de mon imagination de puceau. Un beau jour de mai, le bogoss m’avait ...
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