54.7 T’en as jamais assez, toi…
Datte: 28/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... faire languir encore un peu ; aujourd’hui, c’est mon kif, et je veux décider quand et comment je vais lui faire plaisir. J’extirpe ma main de sa prise, et je reviens caresser ses deux pecs, titiller ses deux tétons ; sa respiration s’accélère encore, le bogoss se branle tout seul. Là, c’est moi qui n’y tiens plus : je glisse ma main dans son boxer, je prends le relais et je commence à le branler doucement. L’autre main, quant à elle, se charge de varier les câlins sur ses pecs, sur ses tétons. Mon Jérém déglutit bruyamment ; son excitation est palpable, je la ressens au plus profond de moi : c’est bon de ressentir les frissons que les caresses de ma main sur sa queue, à la fois intenses et lentes, peuvent lui apporter. Sa respiration s’emballe encore, le bogoss lève le visage au ciel : je multiplie les bisous dans son cou, sur ses épaules, jusqu’à ses biceps : de plus en plus de bisous, de plus en plus enfiévrés. Vraiment, ce mec est né pour ça : éveiller le désir et faire l’amour ! Envie de le bouffer tellement il est beau et sexy ; mais aussi touchant, lorsqu’il prend son pied de cette façon, dans mes bras, me faisant confiance, sans besoin de jouer les petits machos. L’émotion qu’il m’inspire est telle qu’elle finit par passer la barrière de mes pensées et déborder de mes lèvres : « Mais qu’est-ce que t’es beau, Jérém, qu’est-ce que tu es sexy, qu’est-ce que…. (et là, les trois mots auxquels je n’ai cessé de penser depuis hier s’affichent en grandes lettres rouges dans ma ...
... tête, genre affiche de l’Olympia : « Je t’aime » ; j’entends une petite voix en moi crier que c’est le bon moment de les lâcher : « Nico, vas-y… vas-y… c’est maintenant ou jamais ! » ; heureusement, une autre voix fait retentir une alerte sécurité : « Non, non, non, non, non, ce n’est pas le bon moment du tout, on verra ça plus tard ! » ; du coup, mon élan est coupé, et je m’embrouille)… qu’est-ce que… que… que… qu’est-ce que tu es… qu’est-ce que tu es… mec… ». Je sais, ça ne veut pas dire grand-chose : mais c’est tout ce qui m’est venu à l’esprit pour tenter de sauver les meubles. J’enchaîne avec la diversion la plus efficace qui soit pour détourner l’attention d’un garçon, j’accélère les va-et-vient de ma main sur sa queue ; c’est à ce moment que le bogoss soulève son fessier pour faire glisser son short et son boxer le long de ses jambes, je le sens remuer les mollets et les pieds pour s’en débarrasser. Branler mon Jérém, l’espace de mes bras complètement rempli, comblé par sa plastique musclée, ma main remplie de sa queue tendue, chaude, vibrante, tenir son plaisir de mec dans ma main ; découvrir, au gré de mes va-et-vient, le bonheur d’effleurer les petits poils doux en dessous de son nombril ; le serrer un peu plus encore contre moi, laisser négligemment traîner mes doigts d’un téton à l’autre ; laisser mes lèvres jouer, s’amuser longuement avec les mailles de sa chaînette ; me laisse aller à mordiller sa peau, tout comme il l’avait lui-même fait la veille avec moi, et ...