1. Non ! Rien de rien ! (1)


    Datte: 30/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mari de la brune. Et le portillon céda soudain, libérant le passage à la tige qui s’engouffra sans autre forme de procès dans l’étroit conduit. Ce n’est que lorsque les bourses touchèrent les fesses que le jeune homme s’arrêta enfin. Dans le corps de Claude, une nouvelle vague impérieuse venait de ressurgir de nulle part. Son ventre manifestait montant au-devant de la bouche de son mari et elle goba littéralement sa verge qui se tendait. Elle ne ferma nullement les yeux alors que le pieu enfoncé entre les fesses faisait le retour en sens inverse. Au second voyage elle sut qu’elle était vengée, que son mari ne lui demanderait plus de cette manière de faire l’amour en trio. Mais elle avait aussi pris un pied d’enfer et elle se jura bien que ce n’était qu’un petit début. Michel fut limé longuement par le gamin fougueux et quand il lui éclata à nouveau sur les fesses, elle n’en perdit aucune goutte. — oooOOooo — Le coït de Stéphan dura un long, très long moment et depuis quelques minutes Claude avait délaissée sa queue et s’était relevée pour suivre d’un peu moins près les coups de boutoir vigoureux du jeune garçon emmanchant son mari. Celui-ci avait repris le chemin des entrailles de Michel dès son éjaculation terminée et il avait immédiatement rebandé. C’était son mari qui désormais faisait avancer et reculer son derrière sur la bite qui l’habitait. Claude malgré ses nombreux orgasmes avait toujours cette pointe d’envie, un sentiment d’inachevé qui lui taraudait le ventre. Elle ...
    ... ne laissa pas le jeune homme aller jusqu’au bout de ses envies. Elle lui toucha l’épaule, et il comprit qu’elle désirait autre chose. Se retirant lentement il laissa un Michel pantelant qui savourait encore cette pénétration nouvelle. Elle caressa de nouveau les couilles du garçon puis elle se plaça sur lui, le dos contre son poitrail. Lentement elle se laissa glisser sur la verge tendue, cette dernière disparaissant immédiatement entre les lèvres terriblement humides de la femme. Ce ne fut plus qu’un jeu d’enfant que de se lever et descendre sur cette hampe bien raide qui la remplissait parfaitement. Puis se ravisant soudain, elle reprit la queue toujours aussi raide et la plaça sur son anus. En deux mouvements, le serveur investit les lieux. Il ne pourrait pas dire que ce soir il n’avait pas eu de cul ! Les yeux fermés, elle se coucha littéralement sur l’homme, le visage tourné vers le ciel de la pièce. Elle recommença ses manœuvres et gémit doucettement. À quelques mètres de là son mari se remettait gentiment de cette sodomie qui l’avait ravi. Et sous ses yeux sa femme pratiquait la même forme de sexe avec le même amant. Un vrai partage… Rampant sans trop se faire voir, il arrivait devant les deux corps entremêlés. Il posa d’abord sa bouche sur le calice resté béant et lécha les lèvres largement ouvertes, alors que la queue de son amant persistait à la défoncer. Il s’attendait à recevoir ses griefs, qu’elle le chasse peut-être encore une fois ! Mais non ! Elle se trouvait ...