1. Non ! Rien de rien ! (1)


    Datte: 30/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mouvements, comme un tigre qui sait que sa proie ne peut lui échapper. À quarante-huit ans, il était toujours aussi séduisant. Salaud de mec qui profitait de… de quoi déjà ? Ramassée sur son propre siège la brune cherchait un peu d’air pour respirer plus librement. Ses épaules s’étaient voutées, à la seule pensée qu’il put vraiment… vouloir ce qu’il… non elle devait avoir mal compris. Les lèvres rougies et brillantes passées au gloss, le parfum délicat qui entourait son corps, les mains tremblantes, elle baissa finalement les yeux, prit son verre de vin du Rhône et le vida d’un coup. Michel ne bronchait pas, la laissant digérer ce qu’il venait de lui assener d’une seule tirade, sans reprendre d’air. Il était anxieux de voir, de savoir, si… cette femme qui jusque-là, s’était montrée irréprochable dans tous les domaines le suivrait. Alors qu’elle reposait le verre vide, sa main accrocha sa fourchette, la faisant tomber au sol. Le carrelage émit un bruit métallique et l’homme sursauta. Un court instant son regard dériva vers le corps tout entier de sa femme qui se penchait pour ramasser l’objet qui venait de choir. Le geste maladroit qu’elle venait de faire, l’obligea à quitter, elle aussi, pour un moment le bleu dérangeant des mirettes de son mari. Puis, comme le sourire restait suspendu aux douces lèvres masculines, elle comprit qu’il était sérieux et que sa demande était bien réelle. Cette découverte la fit se crisper plus encore sur sa chaise. Sans s’en rendre compte, une ...
    ... bizarre pointe au creux de ses reins venait de naître. Elle se traita d’idiote, de folle, mais force lui était de constater qu’elle mouillait depuis qu’il… avait parlé. Incompréhensible… pourquoi son ventre se ralliait-il aussi sournoisement à… se mettait-il du côté de son mari ? La fourchette venait de retrouver le plateau de la table, mais Claude n’avait pas, elle, reprit son calme. Michel devait être devenu complétement fou pour avoir… osé. Jamais elle ne ferait… — oooOOooo — Le serveur d’un œil rapide avait jugé que la dame brune ayant posé sa fourchette et son couteau, il pouvait sans crainte desservir ces deux-là. Il remarqua l’extrême nervosité de la femme alors qu’il approchait de leur table. Elle avait laissé échapper un de ses couverts et au moment où elle se baissait pour le ramasser, Stéphan avait eu une vision de rêve. Le corsage de la brune légèrement entrebâillé avait laissé entrevoir deux seins appétissants. Bien sûr, ça n’avait été que furtif, mais quel délice et instinctivement son pénis pourtant bien serré dans son pantalon noir de service avait frémi d’envie. Une érection en plein travail… ça n’était pas trop indiqué. Pourvu que le mâle de cette belle plante ne se soit aperçu de rien. Son patron n’aimerait que moyennement une embrouille avec des clients. Les assiettes disparurent vers la cuisine et sa plonge alors que la bête de Stéphan se remettait au repos. Il revint avec toujours son sourire de circonstance, apporter la carte des desserts. — Vous prendrez ...
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