1. Non ! Rien de rien ! (1)


    Datte: 30/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... des lieux, une coupe de Champagne à la main. Les présentations rapides furent les prémices à d’étranges chorégraphies de la part de Jérôme et des deux couples peu farouches. La femme seule quant à elle, avait eu rapidement raison des vêtements d’un Michel que la vue et les bruits de sexe qui se déroulaient sur une moquette de laine à deux pas d’eux, ne laissaient pas indifférent. Il s’était finalement retrouvé sur le sol, avec les autres et avait pu savourer la douceur des bouches qui le goûtaient. Il avait bandé sans relâche, sans aucune pensée non plus pour son épouse restée au chalet. Un moment, mais juste une seconde un sexe d’homme l’avait frôlé, lui laissant une étrange sensation ! Bizarre comme il s’était senti attiré par cette chose qui ressemblait tellement à son propre sexe. Il n’avait tout bonnement pas osé… mais ce n’était pas l’envie qui lui avait fait défaut. La partouze s’était prolongée si tard que le petit matin les avait tous surpris, et Michel n’avait pas même éjaculé. La brune avait donc fini le boulot en le masturbant avant de prendre sa tige raide en bouche et d’avaler son suc jusqu’à la dernière goutte. Les jours qui suivirent, Michel eut d’abord des remords. Cent fois, il avait pensé en parler à son épouse, redoutant ses foudres. Mais comme beaucoup de mecs, il avait lui aussi finalement opté pour une mesure plus sage et une façade de respectabilité de bon aloi. Il s’était donc tu ! L’affaire semblait bien enterrée au fond des oubliettes de son ...
    ... cerveau. Par contre, les séquelles de cette fameuse soirée étaient toujours bien réelles et se rappelaient à lui par des érections puissantes, chaque fois qu’il y pensait une seconde. Bien entendu Claude profita sans le savoir de ce regain d’énergie, de cette profusion d’images érotiques qui lui déclenchait immanquablement des bandaisons phénoménales. — oooOOooo — Puis au fil des jours, il se sentit changer, se renfermant sur lui-même. Cette orgie avait marqué sa vie bien rangée, et il devait bien se l’avouer, le plaisir qu’il en avait retiré lui manquait. Il comparait cela à manger du pain sans sel après avoir connu le bonheur d’en savourer du salé. Il n’eut depuis ce moment-là de cesse de chercher comment annoncer, comment surtout amener Claude à le suivre sur ces chemins de la perdition. Il ne voulait plus se taire, plus non plus passer à côté de ces plaisirs ineffables qu’il venait de découvrir. Mais attirer son épouse dans ce genre de débauche n’avait rien d’aisé non plus. Le restaurant du samedi soir devenait finalement une aubaine. — Claude ! J’aimerais que nous fassions l’amour avec un autre couple ! Ou un homme si tu veux, mais j’aimerais te voir jouir. De toute manière j’en ai envie ! Si tu n’es pas d’accord, tu peux le dire, mais sache que dans ce cas, j’irai voir ailleurs. Je voudrais te regarder, t’entendre jouir, te voir prendre du plaisir dans les bras d’un autre homme et ça me fait bander. — Mais… Michel ! — Chut ! Je veux que tu m’écoutes ! Depuis vingt ans que nous ...
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