La promenade
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
fh,
jardin,
parking,
ecriv_f,
... a dit : — Je veux ta queue. Elle déboutonne le jean en le regardant droit dans les yeux, et sa bite lui saute dans la main, chaude, vivante, dure. Il ne porte rien dessous. Le pantalon déboutonné est retenu par les os de ses hanches, mais il est descendu assez pour libérer les couilles qui se contractent doucement lorsqu’elle les caresse. Il passe la main sous la combinaison et encercle une fesse, force la jambe à monter et à s’accrocher autour de sa taille, puis il glisse sa queue contre la soie noire du string. Il la tient par les hanches et la fait aller et venir doucement le long de sa bite. Elle sent son entrejambe entièrement mouillée, jusqu’en haut des cuisses, elle respire l’odeur de son propre sexe qui se déploie entre eux comme un nuage de gaz. Avant de sortir, elle a déposé une goutte de musc sur son ventre, et l’odeur se mêle à celle de son con, l’excitant encore plus. Elle se branle sur la bite de l’homme et la mince couche de soie entre sa fente et lui décuple la friction. La minuterie de l’escalier sur cour se met en marche, et il se détache d’elle en accompagnant des doigts la robe qui retombe. Souffle coupé, elle le regarde rajuster sa queue gonflée dans son pantalon. Ils sortent de l’immeuble et reprennent leur marche. Ils parviennent à un square, elle pousse la petite barrière en métal et le conduit à un banc, abrité par les haies. Elle le fait asseoir et le regarde. Ses mains reposent sur le banc de chaque côté de son corps, ses longues jambes sont ...
... légèrement écartées. Elle s’approche de lui, écarte les pans de son manteau et remonte lentement sa combinaison. Il dit : — Arrête-toi. Retire d’abord ton string. Il passe les mains sous la robe, sur ses hanches et fait descendre la soie noire. Elle lève une jambe et le string retombe sur l’autre cheville, couvrant la fine sandale plantée dans le gravier. Il défait les boutons de son jean et d’un geste, soulevant juste les hanches, fait délicatement sortir sa queue toujours en érection et ses testicules. Elle est belle, longue et épaisse, circoncise, droite et lisse et de couleur bronzée, comme elle en a vu parfois dans les films pornos. La main droite de l’homme fait un aller et retour le long du membre, il ferme à demi les yeux. Sa main gauche prend la main de la fille et, sans cesser de soutenir son regard, la guide au-dessus de lui, une jambe de chaque côté. Il voit sa chatte, épilée en triangle étroit ; son clitoris est si gonflé qu’il se montre entre les lèvres, il ferme les yeux et se branle doucement. Il dit : — Ton odeur. Tu sens si fort… Elle s’assoit lentement, son cul sur les cuisses de l’homme, et son sexe se plaque contre la queue dressée. Son clitoris s’écrase sur cette bite brûlante, plus ferme encore que sous la porte cochère. Elle prend appui sur ses pieds, les muscles de ses cuisses se tendent et elle fait monter et descendre ses hanches, son sexe le long du sien. Quand son clitoris passe sur le rebord de chair du bout de la queue, elle frémit et sent tout son ...