Une expérience inoubliable
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
médical,
boitenuit,
voiture,
photofilm,
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Je ne suis pas très fière de ce qui m’est arrivé mais, à postériori, je ne regrette rien ; c’est une expérience que je n’oublierai jamais. Cela s’est passé un samedi de février 1979 ; mon mari était en déplacement et nos enfants chez leurs grands-parents. Avec une dizaine d’amis externes, nous décidâmes d’aller au restaurant. Le repas chinois se déroula dans une ambiance joyeuse favorisée par les verres de saké que les serveurs remplissaient dès que nous les vidions. Les garçons, auxquels on avait donné des verres laissant apparaitre des femmes nues lorsqu’ils étaient vides, firent des réflexions plus ou moins graveleuses, cherchant des ressemblances entre ces femmes et leurs convives féminins de ce dîner. Henri et Édouard me citèrent abondamment en regardant les fonds de verre des autres garçons. À la fin du repas, Henri proposa de continuer la soirée en boite ; nous fûmes quatre à accepter, un couple, Édouard et moi, les autres prétextant devoir se lever tôt le lendemain à cause de leurs enfants. Moi, je pouvais faire la grasse matinée ! En me levant, j’eus un peu de mal à garder mon équilibre et à marcher droit vers la sortie : sans m’en rendre compte, j’avais dû boire un peu trop de saké. Nous montâmes avec Édouard dans la voiture d’Henri, alors que le couple prenait sa propre voiture. Il nous fallut moins d’un quart d’heure pour rejoindre la boîte de nuit située sur la route de Cholet. La fraicheur de l’air me dégrisa un peu, et, c’est d’une démarche assurée que je ...
... pénétrai à l’intérieur. Pendant l’heure qui suivit, Henri et Édouard me firent danser à tour de rôle ; je m’amusais follement, alternant rocks et slows, Henri et Édouard. Le couple vint nous dire au revoir. Nous restâmes tous trois, au milieu de la foule du samedi. Nous eûmes un petit coup de mou et allâmes nous installer sur une banquette au fond de la salle afin de nous désaltérer avec des vodkas orange. Je remarquai bien que Henri et Édouard, qui s’étaient assis de chaque côté de moi, me serraient d’un peu près, leurs mains frôlant mes cuisses à chacun de leurs mouvements, mais je n’en fis pas cas. Un nouveau slow débuta et Édouard m’invita ; je me rendis compte tout de suite que quelque chose avait changé : il me serrait de beaucoup plus près, ses mains descendaient beaucoup plus bas sur mes reins et sa bouche venait effleurer mon cou. Je fis comme si je ne me rendais compte de rien. Au slow suivant, Henri prit le relais, et se comporta comme Édouard ; je dus me rendre à l’évidence que leur intentions étaient peut être plus qu’amicales. Mais, quelque chose en moi, sans doute favorisé par le saké et la vodka, fit que je me laissais faire, curieuse de savoir jusqu’où ils allaient aller. Toute la série de slows, ils se relayèrent : leurs mains se firent de plus en plus précises, n’hésitant pas à faire glisser la fermeture éclair de ma jupe et à glisser une main dans la fente ainsi créée, leurs bouches mordillèrent mon cou et cherchèrent ma bouche, leurs ventres se collèrent au ...