Une expérience inoubliable
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
médical,
boitenuit,
voiture,
photofilm,
double,
fsodo,
nostalgie,
occasion,
... d’Henri qui forçait ma bouche ; les deux cochons m’utilisèrent encore plus d’une heure, prenant plusieurs pellicules de leurs exploits, me faisant jouir comme jamais et me laissant enfin épuisée à même le tapis. En m’éveillant, je mis plusieurs secondes à comprendre où je me trouvais. Je me levai pleine de courbatures et, laissant les deux garçons dormir sur le lit, je trouvai la salle de bain : je me glissai dans la douche et laissai l’eau couler sur mon corps. Lorsque je sortis de la salle de bain couverte d’une serviette, Édouard et Henri étaient réveillés ; je lus dans leurs yeux leur désir ; ils ne me laissèrent pas le temps de dire non. La serviette fut arrachée et je me retrouvai écrasée entre leurs deux corps. Je sentis leurs sexes durcir sur mon ventre et contre mes fesses. Édouard, qui était face à moi, me souleva et, me tenant par les cuisses me fit descendre lentement, son sexe pénétrant le mien jusqu’au fond. Dans mon dos, Henri prépara mon cul avec un puis deux puis trois doigts avant que je sentisse sa bite s’introduire dans mon anus. Ils me baisèrent debout pendant de longues minutes ; je jouis encore sous leurs assauts. Édouard se lâcha le premier, mais Henri me pilonna encore trois quatre minutes avant d’éjaculer. Ils ne me laissèrent pas le temps de repasser par la salle de bain ; Henri, me prenant par la main, m’entraina entièrement nue, du sperme coulant à l’intérieur de mes cuisses. Nous sortîmes de l’appartement d’Édouard, descendîmes les trois étages ...
... et rejoignîmes sa voiture sous le regard incrédule mais ravi d’un brave quinquagénaire promenant son chien. Dans la voiture, je pus récupérer ma jupe et mon chemisier que j’enfilai tant bien que mal. Henri me déposa à deux cents mètres de chez moi, me disant avant de partir qu’il me ferait signe lorsqu’ils auraient fait développer les photos pour que je puisse les voir. Je pensai à la personne qui allait les développer ; elle allait se rincer l’œil. Je rejoignis notre immeuble, prenant garde de marcher à petits pas de peur que mon ventre ne laisse encore s’écouler plus de sperme. Nous ne reparlâmes de ce qui s’était passé que dix jours plus tard à l’hôpital. Henri me demanda de le rejoindre dans la chambre de garde du service. Édouard s’y trouvait avec une pochette contenant une cinquantaine de clichés de nos exploits. J’y apparaissais en toute impudeur, pénétrée par l’un ou par l’autre. Tandis que je regardai les photos, Édouard et Henri sortirent leurs sexes et me demandèrent de leur faire une fellation : j’accédai à leur demande, les suçant alternativement. Je les fis jouir au fond de ma bouche, avalant leur sperme afin de ne pas risquer d’en recevoir sur mes vêtements. Il n’y eut pas de suite à cette aventure, Henri et Édouard s’étant mis en chasse d’autres proies. Trente-deux ans après, j’en garde un souvenir trouble et double : honte de m’être ainsi offerte à ces deux garçons, mais plaisir d’avoir connu une fois dans ma vie de tels orgasmes lorsqu’ils me prenaient en ...