1. Une expérience inoubliable


    Datte: 02/05/2018, Catégories: fhh, Collègues / Travail médical, boitenuit, voiture, photofilm, double, fsodo, nostalgie, occasion,

    ... mien, me faisant sentir leur désir. Je me laissais faire. Lorsque la série de slows s’arrêta, nous rejoignîmes sur la banquette Henri qui nous attendait. Sans avoir semblé se concerter, ils devinrent plus entreprenants ; je tentais de résister à leurs mains qui remontaient le long de mes cuisses, mais lorsqu’Henri, une main sur ma nuque pour me bloquer la tête, colla sa bouche à la mienne, mes défenses tombèrent brutalement : ma bouche s’ouvrit pour accueillir sa langue, mes mains ne luttèrent plus, mon corps se détendit, mes cuisses s’écartèrent. Je répondis au baiser d’Henri, tandis que leurs mains remontaient le long de mes cuisses et se glissaient sous mon slip et qu’Édouard, ayant défait un à un les boutons de mon chemisier, plongeait son visage entre mes seins. Je ne pus retenir un gémissement lorsqu’un doigt atteignit mon clitoris. Un reste de lucidité me fit penser à la folie de la situation, mais fut bien vite étouffé par la bouche d’Édouard qui prenait la suite d’Henri, alors que celui-ci, sortant un de mes seins de mon soutien-gorge, se mettait à me téter. Les minutes suivantes virent mon soutien-gorge être dégrafé et enlevé et mon slip être descendu le long de mes cuisses et de mes jambes jusqu’à mes pieds. Je me retrouvai chemisier entièrement ouvert et jupe relevée jusqu’à la taille. Il n’y avait plus d’obstacle à leurs yeux leurs mains et leurs bouches. Ils me caressèrent, m’embrassèrent me pénétrèrent de leurs doigts jusqu’à me faire jouir brutalement, mes ...
    ... gémissements étouffés par la bouche d’Édouard collée à la mienne. Ce fut pour eux le signal : ils se levèrent et, me prenant par les mains, m’entrainèrent à l’extérieur, abandonnant sur place mon slip et mon soutien-gorge. Édouard monta à l’arrière de la voiture avec moi, tandis qu’Henri prenait le volant. Il ouvrit son pantalon, baissa son slip, laissant apparaitre son sexe bandé, puis, sans plus attendre, m’attrapant par les hanches, il m’empala dos contre lui. (À cette époque, le sida n’existait pas ; on n’utilisait pas de préservatif). J’en eus le souffle coupé : je ne m’attendais pas à ça. Son sexe m’emplit sans difficulté, tant l’orgasme que j’avais eu quelques instants avant avait préparé mon ventre. Il me retira mon chemisier et fit passer ma jupe par-dessus ma tête. Ma situation me parut insensée ! Je me retrouvai nue, appuyée sur le dossier du siège avant, empalée sur le sexe d’Édouard. C’était la première fois qu’un autre sexe que celui de mon mari me pénétrait. Je n’eus pas le temps de culpabiliser car le plaisir monta dans mon ventre ; je me mis à me trémousser d’avant en arrière et de droite à gauche. Édouard malaxait mes seins, Henri, de sa main droite, tentait de toucher mes seins et mes cuisses. Il s’arrêta bientôt sur un parking et vint nous rejoindre à l’arrière. Je me livrai totalement à leurs désirs ; Henri m’embrassa avec ardeur tandis que ses mains vagabondaient sur mes seins et mon ventre alors que le sexe d’Édouard au fond de moi me faisait haleter de ...