Bohémienne (2) - Histoires de Sexe

Bohémienne (2)

... privilège de voir grâce aux concours hippiques auxquels il avait assisté, rester immobiles au-dessus de sa tête. La chaleur et l’humidité de la bouche, en plus du travail de la langue, firent rapidement exploser le garçon. Prévoyante, la fellatrice se retira et laissa la semence jaillir dans les airs avant de retomber sur le ventre de son créateur allongé. Après un rire coquin, elle prit un mouchoir en laine pour essuyer le fruit du plaisir donné et le posa dans un coin avant de s’allonger aux côtés de son amoureux, ses yeux noirs profondément plongés dans ceux colorés du jeune Français. Son sexe et ses testicules étaient toujours caressés par cette main fine et délicate. Il touchait lui aussi le corps de l’objet de son amour, sa poitrine, ses hanches, sa toison, ses fesses, et bien sûr sa douce vulve qui ne lui donnait qu’une seule envie : celle de la visiter une deuxième fois. Et puis une troisième fois. Puis une quatrième. Une cinquième, une dixième, une centième ! Il voulait n’avoir de relations sexuelles qu’avec elle, et pendant des heures et des heures… Après les quelques minutes nécessaires au repos de la verge, le souvenir de la nuit durant laquelle il avait pénétré cette belle fille le revigora et le fit commencer à se frotter contre elle avec sensualité. Il continuait de caresser les lèvres de sa main gauche posée entre les jambes, et de la droite, les autres lèvres, les visibles. L’inconnue baisait ces doigts qui entraient à peine en sa bouche, elle caressait ...

... l’avant-bras et le poignet qui allaient vers le bas de son corps, puis caressait de nouveau la hampe et les bourses de son amant. L’effleurement de leurs corps, fût-il fait par eux tout entiers ou simplement par le passage des paumes, fit monter la sève en eux. Lucien n’en pouvait plus, il voulait entrer dans ce corps céleste. Poussé par cette volonté, il se positionna au-dessus d’elle, et alors qu’il frottait son gland contre le clitoris, il se remémora l’humidification à laquelle avait procédé la fille avant de le faire la pénétrer. Il fit alors de même. La fille écarta ses lèvres pour lui faciliter l’accès, et il plongea dans la chair rose et chaleureuse. Dès lors bien installé dans le chaud cocon, en appui sur ses coudes à inonder sa belle de caresses, il commença à remuer doucement le bassin. Toute cette douceur charnelle lui procura une délectable sensation de bien-être, comme s’il était en sécurité. Il soufflait et râlait de plaisir, les yeux fermés et parfois crispés. Qu’il aimait ça… Ses soupirs passaient par ses narines ou entre ses dents. Parfois il échangeait un regard puis un rire avec sa chérie avant de finir sur un doux baiser. Le jeune homme continuait de mouvoir soit son bassin, soit son corps tout entier, en baisant la gorge chaude et parfois crispée par des sursauts de plaisir. Les amoureux changèrent de posture, et la belle créature se retrouva dominante, chevauchant son homme et remuant sur ses cuisses. Elle se laissa ensuite tomber en avant, sur le corps, ...