1. Cinéma


    Datte: 06/05/2018, Catégories: fh, fhh, inconnu, cinéma, intermast, confession, coupfoudr,

    ... s’écoulent dans la semi-obscurité sans que rien ne se passe.La chaleur de cette pulpeuse inconnue est toute proche. Trop proche, bien trop proche, tout comme son léger parfum…J’ose alors poser une main timide sur sa cuisse droite, sur son bas tout doux. Elle ne bronche pas ; son regard ne se détourne même pas de l’écran. C’est, je pense, je crois, j’espère, une invitation à continuer… Ma main fébrile se met alors à caresser délicatement sa cuisse, épousant ses courbes, appréciant sa douceur. Peu après, mes doigts frôlent ceux de son mari qui lui caresse l’autre cuisse. Intrigué, je marque un temps d’arrêt auquel la femme répond en écartement légèrement les cuisses. Je reprends de plus belle mes caresses, remontant timidement sous sa robe pour y découvrir peu après la bande du haut de son bas. — Toi, tu as osé faire ça ? Waow ! Ou bien tu enjolives ?— C’est la stricte vérité ! Mais si tu ne me crois pas, tu n’es pas obligé de m’écouter !— Non, non, continue… Nous en étions au haut du bas de la tentatrice en rouge et noir ! — Tu sais dresser autre chose qu’un bilan ? Chapeau !— Tu ne vas pas t’y mettre aussi, Jean-Jacques ! Déjà qu’avec Henri, c’est pénible, mais si tu t’y mets, je vais finir par perdre le fil de mon récit !— Et c’est du vrai de vrai, ton histoire, ou c’est du cinéma ?— Il faut que je le jure sur quoi pour qu’on me croie ?— Sur le sacro-saint plan comptable, par exemple !— Imbécile heureux !Puis je sens plus que je ne vois le visage de mon inconnue se tourner ...
    ... vers moi. Tout doucement, d’une voix sensuelle, elle me chuchote alors à l’oreille :— Allez-y… Faites-moi du bien !Je caresse l’entrée de sa fente. Petit à petit, impudiquement, elle s’écarte sous mes doigts qui vont et viennent lentement, délicatement. Elle s’alanguit dans son fauteuil, parfaitement offerte. Son visage est tourné vers moi ; je sens son souffle, sa bouche est entrouverte, ses lèvres sont offertes. — C’est pas vrai ! T’inventes, là !— Ah non ! Tu ne vas pas t’y mettre aussi, Didier !— Continue, continue, je ne dirai plus rien… — Moi, il y aurait longtemps que j’en aurais fait dans mon slibard ; et une grosse mare à canards !— T’es poétique, Henri ! Laisse-le continuer, tu lui coupes ses effets !— On voit bien que notre Charles a été un comptable toute sa vie ! Ces pisseurs de chiffres, ils sont froids comme de la glace, comme les agents du fisc !— Charles, ne fais pas attention à ce vieux croûton d’Henri, poursuis ton histoire !Nos bouches collées l’une à l’autre, se mordillant parfois, se caressant souvent, nos doigts respectifs qui se donnent mutuellement du plaisir, sa main si brûlante et si douce sur ma tige qui n’en finit plus de gonfler ; moi qui la farfouille, la découvre, la caresse, l’agace, l’excite ; je voudrais que ce moment n’en finisse plus !Quel plaisir pour moi de constater que c’est elle qui se caresse, se lime, s’empale sur mes doigts pour atteindre le plaisir ultime, une jouissance évidente dans mille soubresauts de bien-être. Tandis que, ...