Homo Sapiens
Datte: 06/05/2018,
Catégories:
fh,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
historique,
ecriv_f,
Après plusieurs semaines de marche, le clan s’était installé dans cette nouvelle vallée. Le climat était beaucoup plus clément. Il faisait même chaud pendant la journée. Aujourd’hui, Dunar choisit de partir explorer les environs, et surtout d’aller vers la rivière qu’il avait aperçue de loin, hier, en s’installant. Il s’absente facilement du groupe qui n’est encore pas réveillé, trop occupé à panser les plaies et à reposer les corps endoloris. Il se fraie un passage entre les hautes herbes et les buissons, sans un bruit, comme pour ne pas effrayer la nature sous le soleil à peine levé. Il marche doucement, en tentant de trouver des appuis solides dans la descente vers l’eau. Il l’entend en contrebas et sa marche assez longue le rend joyeux. Il entrevoit les premiers éclats de lumière de l’eau qui joue avec le soleil. Il fait déjà chaud quand il arrive à atteindre la berge, en passant par un sol mou, un peu boueux, pour rejoindre un gros rocher plat. Il y a beaucoup de rochers dans le lit de cette rivière majestueuse et calme. Ils sont tous arrondis par les crues probables. Dunar s’approche doucement du bord, se montrant à découvert. Il est heureux de contempler ce cours d’eau d’une limpidité extraordinaire, d’un calme serein, avec les méandres étincelants serpentant entre les cailloux, les rochers érodés, formant des bassins, de petites chutes. Il tend sa main pour boire une gorgée. Il a même envie d’aller se baigner. Il sait qu’il ne va pas être dérangé et il a bien envie ...
... de profiter pleinement de sa découverte magnifique. Il ne porte plus qu’une peau de bête fine autour de la taille, qui lui arrive à peine en haut des cuisses. Au fur et à mesure du voyage, il a abandonné ses fourrures très épaisses qu’il s’attachait sur les épaules, autour de l’abdomen et qui pendaient presque par terre. Dans cette nouvelle région qu’il ne connaissait pas, il apprécie ce temps chaud, même si parfois le soleil est aride. Il a vite fait de délacer la peau qui lui entoure les hanches pour la poser à plat sur le rocher, à côté de lui. Il se gratte un peu le corps, en ressentant un étrange bien-être. Puis il descend doucement dans l’eau. Elle n’est pas glaciale, comme dans les dernières contrées qu’il avait habitées, où se laver était un supplice continu. Non, là, la rivière est d’une douceur remarquable, il voit ses pieds, au fond, zébrés par le soleil. Il s’immerge d’un seul coup en grognant de plaisir. Il avait oublié cette sensation de liberté, du corps sans entrave, de caresse sur toute sa peau nue. Il bouge lentement dans l’eau, avec retenue, pour sentir le courant le chatouiller, parcourir ses jambes, remonter entre ses fesses et contre son ventre. Il respire fort. Il se frotte le dos contre un rocher, délicatement, se débarrassant des saletés qu’il avait gardées des jours durant. Il passe ses mains sur tout son corps. Il sent qu’entre ses cuisses, son sexe se gonfle. Il revit. Après quelques minutes de jeux dans l’eau, il remonte sur le grand rocher plat ...