1. Homo Sapiens


    Datte: 06/05/2018, Catégories: fh, Masturbation intermast, Oral pénétratio, historique, ecriv_f,

    ... C’est comme un chant d’oiseau, mais en continu, assez proche. Il rampe sur un gros rocher pour s’approcher plus près. Et là, il découvre, de l’autre côté, tout proche de lui, dans une vasque naturelle de la rivière, une femme ! Elle est en train de se laver. Dunar l’observe attentivement. Elle n’est pas du clan. C’est une femme à la peau cuivrée. Ses cheveux sont longs et lisses, bruns. Elle est grande et fine, beaucoup moins trapue que celles de son clan. Dunar la détaille de tous les côtés. Elle se passe de la boue sur tout le corps, avec de l’eau, en chantant. Sa peau brille. Ses seins sont bien ronds et fermes, elle n’a pas de poils sur le corps comme les femmes du clan, à peine même entre les cuisses. Dunar sent que sa poitrine bat, ses muscles se tendent. Cette femme n’est peut-être pas seule à la rivière et il scrute les alentours à la recherche d’un indice. Il la trouve belle. Il n’a jamais vu d’aussi belle femme et si différente de celles qu’il connaissait jusqu’à maintenant. Il sent son sexe pointer sous son ventre, contre le rocher. Il se laisse descendre doucement en arrière pour tenter de passer par l’eau. Il contourne le gros caillou où il était perché pour passer par le lit de la rivière et arriver face à la femme. Il avance doucement, très craintif. Quand il est à une dizaine de mètres d’elle, elle pousse un cri et s’enfuit sur la berge. Il la poursuit rapidement et ne la lâche pas des yeux. Il bondit sur un rocher affleurant et à peine pose-t-il le pied ...
    ... dessus que la pierre bascule et le fait tomber dans l’eau. Il a perdu l’avance qu’il avait sur la femme mais il a bien repéré la trajectoire qu’elle a empruntée. Il suit ses traces dans la terre en restant sur ses gardes. Il arrive dans un sous-bois, sous une paroi rocheuse. Il doit s’agir d’un campement et il redouble de prudence, de peur d’avoir à affronter des guerriers. Il s’approche de ce qui semblerait être un foyer presque éteint. Puis il voit la femme, un peu plus haut, sous la paroi, tenant une lance et une sorte de gourdin de bois à moitié brûlé. Elle lui crie des choses qu’il ne comprend, dans un autre langage, comme pour le chasser. Il s’avance doucement vers elle en murmurant des choses, mais qu’elle ne peut pas comprendre non plus. Elle le dévisage, l’air apeuré, puis fixe son bas ventre, toujours dénudé. Elle semble surprise. Dunar regarde aussi et voit que sa verge est toujours droite, dans le même état que lors de son observation, tout à l’heure, du haut de son rocher. Il s’approche encore, pour faire comprendre à la femme qu’il la trouve belle, qu’il a envie d’elle. À quelques mètres, il grogne un peu, en prenant son sexe d’une main et en le tendant vers la femme. Il l’appelle. Elle s’interroge et baisse un peu ses armes. Il s’approche encore plus, très excité et démonstratif, en émettant des gémissements. La femme le sent, le regarde dans tous les sens. Dunar n’est plus qu’à quelques centimètres. La femme ne semble pas offrir de résistance. Puis il pose sa main ...
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