Homo Sapiens
Datte: 06/05/2018,
Catégories:
fh,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
historique,
ecriv_f,
... pour se faire sécher. L’eau ruisselle sur tous ses poils et s’égoutte sur la pierre. Il reçoit le soleil en plein sur le corps et cette autre sensation est encore un grand plaisir. Il s’accroupit sur ses talons pour se reposer un peu. Il scrute tous les alentours pour regarder ce nouveau paysage. Il fixe la berge en face, écoutant le moindre bruit, reniflant les odeurs. Le soleil chaud le détend et continue de bien le sécher. Son corps se relâche. Il regarde en riant son bas-ventre qui chancelle. Son scrotum complètement distendu touche le rocher, entre ses pieds. Dunar écarte machinalement les jambes, comme pour offrir à l’air et au soleil son entrecuisse. Sa verge se gonfle et commence à se tendre. Il écarte encore un peu plus les genoux pour mieux l’admirer. Le sol effleure la peau de ses testicules et il en ressent un étrange plaisir. Comme par réflexe, il fait de très lents mouvements du bassin, pour se caresser au rocher. Son sexe est maintenant tendu en avant. Il le prend un peu maladroitement à deux mains pour tirer légèrement la peau en arrière. Le gland rouge et gonflé apparaît pleinement et Dunar commence à gémir. Avec les mouvements lents de son bassin pour frotter son scrotum sur le rocher, Dunar remet le prépuce avec ses deux mains, pour tirer de nouveau en arrière. Son sexe arqué est tendu au maximum et le fait soupirer. Il poursuit son va-et-vient de plus en plus appuyé. Puis il bascule en avant sur les genoux, pour pousser un râle profond et sentir entre ...
... ses doigts sa verge devenir extrêmement dure et gicler en jets interminables et épais. Il grogne jusqu’à la dernière goutte pour s’écrouler sur le côté, repu. Au bout d’un moment, il se relève, satisfait, le sexe encore gonflé et repart en direction du talus, sa peau de bête à la main. Il rentre au camp par la forêt. Il remet son pagne de peau en chemin et va rejoindre le reste du clan pour partir à la chasse ou confectionner des huttes et des abris. Demain, il retournera à la rivière. Le lendemain, Dunar repart avant le lever du soleil, pour aller faire ses ablutions à la rivière. Il emprunte le même passage, à travers les arbres et les buissons et se retrouve au même endroit, sur le grand rocher plat au bord de l’eau. Son pagne est légèrement relevé en bas de son ventre et il s’amuse de ressentir un si grand plaisir de se mettre nu dans l’eau. Il défait le morceau de cuir autour de ses reins et s’étire de tout son long, face au soleil qui se lève. Il est heureux de pouvoir profiter de ce moment si particulier de calme et de sérénité. Il descend dans l’eau, en exagérant ses gestes et en regardant sa verge, tendue vers le ciel. Il va marcher un peu, entre les cailloux, plonge dans l’eau, se caresse et s’aventure un peu plus loin, en amont de la rivière. Il grimpe, franchit, escalade, saute, avec la joie de sentir l’eau qui glisse sur son corps et le soleil qui le chauffe. Puis soudain, il entend un bruit étrange qui le stoppe dans son avancée. Il tend l’oreille, renifle l’air. ...