1. Mégas Aléxandros (1)


    Datte: 07/05/2018, Catégories: Divers,

    Mégas Aléxandros, né le 356 av. J.-C Roi en 336 av. J.-C. Avant-propos : Cette histoire est basée sur plusieurs sources historiques, parfois contradictoires, mais agrémentées par mon imagination et des suspicions qui n’osent apparaître dans la littérature officielle. À mon grand regret, je force l’age d’Alexandre au début de tous commentaires à 18ans pour faire passer la censure qui ne tient pas compte de l’évolution historique. Au lecteur de faire l’effort nécessaire de remettre les choses dans son juste contexte. De la conception à la majorité. Dans l’aile ouest du palais royal de Pula, un couple est enlacé, la reine et le strategos du roi. La verge puissante est bien engagée dans l’utérus royal et se démenant comme un beau diable Parménion livre un fleuve qui finira par engrosser la reine. Reposant chacun de son côté, Parménion : — Pourquoi Olympia ? Pourquoi déserter la couche royale ? — Pourquoi Philippe va voir ailleurs ? Et pourquoi il n’a qu’un petit membre qui convient mieux à ses soldats qu’à ma fente avide de viande ? — Je comprends ma reine, Mais il faut comprendre que, ce que je n’ai pu réaliser, avec sa fine nouille, c’est plus confortable pour le soldat et que si tu as le cul malmené, sur le champ de bataille c’est la mort ou à cheval, c’est pas la joie, tandis qu’avec son modèle réduit, tout le monde il est content. Le soldat avec son cul et ses reins en état de fonctionnement et surtout enchanté de l’affection du roi. — Je comprends, mais cela ne fait pas ...
    ... mes affaires, heureusement que tu es là pour compenser. — En prenant pas mal de risques. — Les risques, c’est le propre du soldat. — Il faut que j’y aille, Philippe ne va pas tarder à rentrer et il ne faut pas provoquer impunément la chance. Quelque neuf mois plus tard, naquis Alexandre qui ne va pas cesser de croître. La reine invoqua la visite de Zeus sous forme d’un serpent, n’osant dire que c’était le serpent de Parménion qui avait fait le travail. Parménion fut de tout temps comme un vrai père, on le comprend. Sur les premières années de sa vie, il eut la chance d’avoir un des plus grands, si ce n’est le plus grand pédagogue de son époque, Aristote, dont on a que fragmentairement l’idée de ses connaissances à l’époque. Évidement, il fut aussi entraîné, physiquement et stratégiquement par Parménion, mais son éducation sexuelle, c’est avec ses compagnons de jeu qu’il la forge, suivant en cela une tradition presque millénaire, depuis Achille son modèle et son compagnon Patrocle, fantastiques héros de l’histoire et porte-parole pour les relations homosexuelles dans l’armée. Le premier contact avec la guerre eut lieu à Chéronée (338), contre la ville de Thèbe, pour ses 18 ans, il était le commandant du marteau, c’est-à-dire de la cavalerie royale, alors que Parménion était l’enclume, la redoutable phalange macédonienne. Là, le marteau contourna l’armée thébaine et en se retournant, frappa les arrières des troupes thébaines, prises à partie par la célèbre phalange macédonienne. ...
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