1. Mégas Aléxandros (1)


    Datte: 07/05/2018, Catégories: Divers,

    ... Après la victoire complète, courbaturé Alexandre se retire sous sa tente avec son ami Héphaïstos qui lui fit un massage pour délier ses muscles pendus, mais alors qu’il s’occupait de ses cuisses, fortement sollicitées pour se tenir en selle sur Bucéphale, la pointe du marteau se redressa et Héphaïstos lui proposa de jouer le rôle de l’enclume, lui tourna le dos pour qu’il puisse aussi décharger cette tension. Ainsi après le baptême du feu avec les armes, il prit d’assaut le cul de son camarade et y introduisit sa queue, qui ma foi était bien dans les proportions grecques de beauté de l’époque, qui étaient un peu à l’opposé des critères actuels, c’est-à-dire dure, mais très fine, servant plus à percer les culs que les cons. À l’époque, le plaisir masculin se prenait dans le cul d’un homme principalement, (d’où l’expression va te faire enculer chez les Grecs) la femme n’étant que la machine à faire des guerriers. Son plaisir ne comptait pas. Donc pour reprendre le fil de l’histoire, Alexandre, avec son marteau frappait de plus en plus violemment son enclume préférée, mais il savait qu’il lui fallait aussi une échappatoire, aussi il lui saisit le sexe de sa main princière et le secoua jusqu’à ce que la combinaison du massage de la prostate et le mouvement alterné de sa main conduisent à l’explosion du plaisir de Héphaïstos qui inonda la couche princière. — Ah cochon ! Tu aurais pu viser ailleurs, lui gronda Alexandre ! — Mais mon amour, c’est toi qui dirigeais mon dard et mon ...
    ... excédent d’énergie n’a pu aller qu’en la direction que tu lui indiquais. — Bon moi je n’ai pas fini, j’ai encore quelques thébains à soumettre dans ton enclume reprit Alexandre en accélérant la charge de sa cavalerie. Finalement malgré la résistance héroïque du dernier carré, il inonda le cul de son camarade d’une large giclée de semence qui n’aurait aucune chance de prendre pieds. Héphaïstos se retournant : — Donne ton marteau que je le nettoie, j’ai encore faim de toi. — Ça c’est vraiment un service impeccable lui répondit Alexandre. La rentrée à Pelas, fut simplement triomphale, Philippe son père, fier de l’efficacité de son fils au combat, n’arrêtait pas les louanges, jusqu’au moment qu’il commence à prendre ombrage sur cette popularité qui devenait plus grande que la sienne. Sur ces entre-faits, son deuxième général, Atale, lui présenta sa nièce qui était fort avenante. Philippe qui était violemment hétéros, à la fois fatigué des refus fréquents de son épouse qui se réservait à Parménion et troublé par cette fraîche beauté, demanda à Atale, son parent de lui la présenter. La mignonne, bien chapitrée par Atale se présente dans ses plus beaux atours à la cour. — Majesté, dit-elle en s’inclinant profondément à votre service. — Viens ici mon enfant, (alors qu’elle en avait 19 ans) nous allons continuer cette discussion dans ma chambre. — Mais bien sûr votre majesté. Arrivant dans la chambre royale que n’habitait plus depuis longtemps Olympia, le roi égarant ses mains sur le ...