Mégas Aléxandros (1)
Datte: 07/05/2018,
Catégories:
Divers,
... impatiente de sentir enfin ce pieu qui mettra fin à sa jeunesse et lui permettra de rentrer dans le monde des grands. D’un mouvement ample, il plante d’un mouvement brusque mais pas sec, sa bite dans le conin, faisant péter par la même occasion le labelle de garantie. — Aïe, gémit la pauvre enfant devant la déroute de ses troupes et l’invasion sanglante, mais avec le gland perçant son intérieur inviolé jusqu’à ce jour. Ouf ! C’est passé, cela fait encore un peu mal, mais autrement, j’aime bien ta tartine parrain. Ce n’est que plus tard qu’on comprendra qu’en fait elle voulait dire : J’ai bien ta pine Tartarin ! Retirant à moitié sa pine du conin, Philippe constata qu’on ne l’avait pas trompé sur la marchandise et que c’était du neuf aux traces de sang qui ornait son sceptre royal. — C’est bon, tu es une bonne petite, je compte sur toi pour me faire un autre héritier, Alexandre devient de plus en plus incontrôlable. — Mais Majesté, mon ventre est pour cela. Continuez à plonger votre sceptre, c’est trop bon, surtout quand en même temps, vous me trayez les nichons. Accélérant le train, Philippe sent de plus en plus que ses gonades fourmillent et désire envahir la trompe d’Eustache (enfin à cette époque, je ne suis pas sûr que cela s’appelait comme cela) — Tiens, voila la purée royale, prends en bien soin et viens me retrouver demain pour en remettre une couche. Après quelques essais fructueux, Philippe décida d’en faire sa reine. Ce fût le début des emmerdes pour lui. ...
... Alexandre évidement pris le parti de sa mère et de violentes disputes dégénéraient à la cour. Au cours d’une des beuveries habituelles, Alexandre se permit de se moquer de son père qui était ivre et avait de la peine à marcher. eopeddnt — Père comment veux-tu conquérir l’empire perse quand tu tiens à peine debout ? Tu ressembles plus à un porc maintenant qu’à un fringuant guerrier. Fou furieux Philippe demanda à Parménion qu’on arrêta Alexandre, ce fut une de ses dernières erreurs, évidemment qu’un des camarades présents, avisa Alexandre qui s’enfuit avec ses camarades dans les montagnes de l’Épire. Sa mère, voyant le ventre de Cléopâtre s’arrondir, commença à craindre pour sa vie, comprenant que la course pour la survie avait commencé, séduit en suite Pausanias, un garde du corps de Philippe et sans le dire directement se plaignit de son époux qu’elle faisait agréablement cocu comme pas permis. Au bout d’un certain temps, Philippe compris qu’il faisait fausse route avec Alexandre qu’il aimait malgré tout tendrement, envoya Parménion pour le rappeler à la cour. Gravissant un sentier de chèvres avec son escorte, ils furent assaillis par une troupe belliqueuse qui, reconnaissant Parménion, arrêta de suite les hostilités. — Que me vaut cette visite mon bon oncle ? — Le roi Philippe désire ton retour à la cour. — C’est pas un moyen pour me liquider ? — Non, il est sincère, il tourne comme un ours en cage en se tapant sur la tête de désespoir de ne pas t’avoir à la cour. — C’est bien, on ...