Avec Vincent
Datte: 08/05/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fépilée,
rasage,
Oral
pénétratio,
portrait,
... qu’elle, Julia, se sentait autant femme que maîtresse en lui rendant ce vibrant hommage. Elle aimait lorsque sa bouche était emplie de toute sa virilité et qu’elle pouvait passer sa langue sur le gland qu’elle décalottait au maximum. Elle savait se retirer et prendre les testicules à pleine bouche et délicatement les malaxer avec ses dents. Elle aimait aussi titiller son anus avec sa langue. Elle s’était surprise à vouloir forcer avec sa langue ce passage si étroit. Vincent, un jour, lui avait confié que jamais que ce soit son épouse ou d’autres « bonnes fortunes » ne lui avaient donné autant de plaisir en faisant une fellation. Julia aimait le plaisir de Vincent dont elle tirait son propre plaisir. Elle savait que bientôt, lui aussi la caresserait et investirait son intimité. Elle demandait peu, comptant sur son amant pour lui faire découvrir d’autres horizons. Ce qui, malheureusement avec lui, ne se faisait guère. Néanmoins, elle aimait ce qu’elle faisait et elle aimait ce qu’il lui faisait. Au bout de 2 minutes, Vincent demandait grâce et se proposait de lui rendre la pareille. À regret sa bouche le libérait et son amant prenait la conduite des opérations. Lui aussi aimait lui donner du plaisir avec sa bouche. Il vénérait ses fesses et ne commençait pas sans les avoir caressées. Julia s’était mise sur le ventre et déjà Vincent passait le plus doucement possible sur celles-ci une main pleine de douceur. Il ne tarissait pas d’éloges sur son postérieur et aimait en faire le ...
... tour. Julia aimait ce moment-là où elle se laissait aller. Vincent avait de réelles dispositions pour caresser les femmes. Imperceptiblement, ses jambes s’ouvraient. Vincent profitait de cette occasion pour, par de lents mouvements de va-et-vient, explorer son anus et l’entrée de son vagin. Elle n’aimait pas qu’il approche avec ses doigts trop près de son anus. Elle était rétive à toute intrusion et se bloquait instantanément lorsque le doigt inquisiteur de Vincent se posait sur sa rosette. Par contre, comme lui, elle adorait le contact de la langue à cet endroit si précis. Sachant, qu’avec cet appendice il ne pourrait forcer le passage, elle s’en remettait à de bien douces caresses. Il en profitait, toujours avec sa langue, pour explorer l’entrée du vagin. Là, il recueillait l’émanation du désir de Julia. Elle lubrifiait de plus en plus et sa liqueur (car Vincent considérait cela comme de la liqueur) était d’un goût un peu poivré. Il aimait s’en délecter et échanger avec Julia des baisers profonds. Elle aimait retrouver dans sa salive le goût de son intimité. En temps normal, il ne lui serait pas venu à l’idée de s’en régaler mais l’excitation aidant, elle appréciait cet état de fait. Ce fut elle qui, à son tour, demanda grâce et comprit que Vincent était trop excité. Elle le connaissait très bien et savait que sa jouissance n’allait pas tarder si elle demandait à être pénétrée. Elle reprit en bouche le sexe de Vincent et lui dit qu’il pouvait, s’il le voulait, jouir sans ...