Martin
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
À cette époque, j’étais représentante en jeux éducatifs pour les maternelles et les crèches. Au cours de mes tournées j’avais rencontré Martin, un instituteur dans un petit village. Martin, c’était un prénom rare, mais le personnage l’était aussi. Grand brun aux yeux bleus, tout à fait le genre tombeur. En fait, il était très beau. Pendant tout l’entretien que j’ai eu avec lui, je suis restée subjuguée par son charme. Je ne voyais que ses yeux ; j’essayais de deviner les muscles de son torse par la chemise entrouverte, et même, chose rare chez moi, le renflement de son pantalon à l’endroit du sexe. Bref, j’étais sous le charme de cet homme. Et instinctivement j’essayais de lui plaire. À la fin de ma visite il a fallu que je m’ébroue pour redescendre sur terre, et je m’aperçus alors que j’avais fait une très belle commande, sans en avoir le moindre souvenir. Nous devions nous revoir 6 semaines plus tard pour une nouvelle collection. Je vivais avec un homme sans le moindre problème sexuel étant entièrement satisfaite de ce côté-là. Mais quand vint le jour de ma visite avec Martin, mon conjoint était en stage à l’étranger depuis plus de 7 semaines et je n’avais eu aucun rapport sexuel depuis son départ. J’étais en manque d’amour. J’y pensais presque tous les jours. La nuit je faisais des rêves érotiques qui me laissaient pantelante au petit matin. Quand je tombais sur une revue, c’était bien sûr une revue érotique et je ne tardais pas à me caresser. Mais c’était bien ...
... insuffisant. C’est d’un corps d’homme que j’avais besoin et il n’aurait pas fallu grand-chose pour que je trompe mon conjoint juste pour le plaisir. Cela explique peut-être ce qui s’est passé. Reçue gentiment par Martin comme la dernière fois, nous avons d’abord bavardé sur le ton du badinage, tout en buvant un petit punch bien frais. Martin avait une attitude bizarre faite d’attention exagérée et de tendresse contenue. Du désir aussi. Le regard presque trop caressant pour être vraiment honnête. Je me sentais troublée, émue. Et l’alcool n’était pas étranger à mon émoi. D’ailleurs je voyais trouble, dans un halo, et j’avais envie de rire. Presque inconsciemment je me plaçai dans la lumière de la fenêtre. En suivant le regard de Martin dans le miroir je constatai qu’on me voyait plus que nue par transparence. Je commençais à lui montrer ma collection, légèrement grise. J’avais pris l’habitude pour cela de me mettre à genoux étant plus à l’aise dans cette position. J’étais vêtue d’une robe à boutonnage sur le devant très largement fendue et décolletée, et en cette fin de printemps, je portais des bas, ayant définitivement jeté les collants aux orties. Pendant ma démonstration Martin me regardait en souriant. Je sentais son regard me frôler tout le corps, et cela me faisait chaud. Mais ce n’est qu’au bout de quelques instants que je vis que ses yeux fixaient l’endroit où ma robe s’était largement ouverte sur mes cuisses à cause de ma position. En vérité, on voyait très bien le haut de mes ...