Martin
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
... bas et un peu de chair nue au-dessus. Je tentais de couvrir mes jambes en tirant sur le tissu, mais celui-ci était tellement tendu que ma robe s’entrouvrit à nouveau. Une autre tentative s’avéra inutile. Martin dit doucement : — Laissez. C’est bien ainsi, et puis le spectacle est très agréable à regarder. Surtout ne changez rien. Troublée, serrant les jambes, toujours assise sur mes talons, dans une pose légèrement indécente, je continuais ma démonstration sentant son regard brûlant posé sur mes cuisses. Interrompant mon laïus il murmura : — Je vous trouve très belle. Il s’agenouilla face à moi et me fixa dans les yeux. Mon souffle devint un peu plus court. L’atmosphère était tendue, lourde d’érotisme. J’étais profondément troublée. — Continuez, dit-il. Pendant un long moment nous sommes restés les yeux dans les yeux. Je n’arrivais plus à parler. Des envies de sexe commençaient à m’envahir. Mon regard rivé au sien je me mis à balbutier mes arguments de vente. Je m’arrêtai soudain alors que ses mains défaisaient un bouton en bas de ma robe et en écartaient doucement les pans, découvrant ainsi un peu plus de mes cuisses. — Mais que faites-vous ? protestai-je, la robe déjà ouverte jusqu’au slip.— Chut, continuez votre démonstration. Il se pencha en avant et doucement il me caressa les jambes. D’abord longuement, lentement, du genou à la lisière des bas. Toujours ancrée dans son regard et agenouillée devant lui, je me mis à trembler. Les mots sortaient de plus en plus ...
... difficilement de ma bouche et sous ses caresses mes cuisses s’ouvraient toutes seules et mon sexe mouillait. Il s’approcha et murmura : — Oui c’est ça, écarte !— Non, soupirai-je déjà gagnée par le désir.— S’il te plaît écarte, chuchota-t-il. Alors comme envoûtée mais pas vraiment consentante, j’écartai doucement les jambes, découvrant totalement mes cuisses et presque complètement mon slip. — Oui, dit-il, je sais que tu en as envie autant que moi. Sa main continua sa caresse diabolique puis alors que je gémissais, monta lentement jusqu’à ma peau nue, me procurant un long frisson. Puis elle monta encore plus haut et me caressa la chatte par-dessus mon slip. Je haletais encore plus fort sous ses doigts, sentant le désir monter. — Non, chuchotai-je, penchée en avant sur son bras, tandis qu’il me massait le sexe et que le désir me submergeait.— Chut, répondit-il Les bouts de mes seins étaient durs et douloureux, prêts à traverser le tissu de ma robe. Il embrassa délicatement mes lèvres. Ses mains massèrent mes seins puis mon ventre puis mes cuisses puis encore ma chatte. Soudain, alors que, n’y tenant plus, je lui rendais son baiser, il glissa un doigt sous l’élastique de mon slip et écartant les lèvres de mon sexe me caressa le clitoris. Puis il dit : — Tu es toute mouillée. Je tremblais et coulais sur son doigt. Ensuite, alors que je haletais sous sa caresse, il prit ma main droite et, sans que je proteste, la glissa dans son short en murmurant : — Regarde comme je bande, comme ma queue ...