Martin
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
... est dure. De sentir ce gros sexe vibrant de désir et tout gonflé de sève me fit carrément tremper mon slip. Malgré moi je me mis à le masturber. Alors protestant encore un peu, entre deux baisers, mais abandonnant progressivement toute résistance, je le laissais m’incliner lentement en arrière, bras tendus, cuisses ouvertes. Je m’offrais. Il se pencha en avant et déboutonna ma robe. L’ayant écartée, il saisit mes seins à pleines mains déclenchant d’autres gémissements. — Tu as envie hein ?— Oui, arrivai-je à dire en tremblant. Ensuite il me souleva un peu et fit glisser mon slip sur mes jambes. J’étais tellement impatiente que je m’énervais à l’enlever complètement. J’étais pratiquement nue, offerte, le sexe coulant de désir. Je ne savais plus qui j’étais, je ne pensais qu’à son sexe énorme qui allait me prendre et que je devinais sous son short, gonflé de sève. Doucement Martin m’écarta les cuisses, se pencha et me lécha le sexe. Il trouva mon clitoris et l’aspira. Je ne pus retenir un râle de plaisir. J’étais prête à être prise, à jouir, privée de mâle depuis si longtemps. Je ne résistais plus, submergée par cette montée de désir qui semblait tout annihiler en moi. Je fermai les yeux pour mieux en profiter, décidée à laisser faire les choses. Quand je les ouvris quelques secondes plus tard, il y avait un autre homme qui nous regardait en souriant. Martin leva la tête de mon ventre et dit : — Viens Pierre, elle est prête. Je n’avais pas encore complètement réalisé que le ...
... dénommé Pierre me caressait les seins. — Non, criais-je, légèrement dégrisée en tentant de me dégager.— Chut, ne crie pas, dit Martin. Je me débattis, protestai, les traitai de salauds, essayai de leur échapper, mais Pierre avait saisi mes bras et les tendait en arrière et surtout, Martin me léchait à nouveau la chatte et deux doigts dans mon vagin me branlait doucement et je compris que j’étais perdue. Pierre se pencha et m’embrassa les seins et le torse. Il lécha les bouts que redevinrent durs et longs. Sa caresse était si douce et bonne que je sentis une boule de chaleur monter de mes reins. Alors je me laissais aller et je fis tout ce qu’ils me demandaient. Oui j’écartais les cuisses plus grand, oui je leur dis de me baiser, que je ne pensais qu’à ça depuis que j’étais entrée dans la pièce, oui j’acceptais qu’ils me prennent, qu’ils me sucent. Ils pourraient me faire tout ce qu’ils voudraient, je ne dirai rien. Martin sortit son sexe, l’approcha de ma chatte et me pénétra d’un lent coup de reins jusqu’au fond du ventre. À peine avait-il commencé à me limer que je jouis. Pierre me présenta sa queue et oui je me mis à la sucer avec gourmandise. Je ne savais plus où j’en étais, j’étais folle de désir. Je voulais jouir et encore jouir. Martin se retira sans avoir joui et Pierre prit sa place dans mon ventre. Puis Pierre me saisit à bras le corps et me retourna sur lui. Il continua à me limer et je sentais le plaisir revenir. Je me démenais sur lui, son sexe enfoncé dans la ...