1. Pensées pour moi-même (2)


    Datte: 10/05/2018, Catégories: fhh, vacances, hotel, hsoumis, fdomine, Oral journal,

    ... elles avaient de fait perdu tout sens de l’orientation, le seul point de ralliement que leur était encore disponible étant cette queue qui commençait maintenant à vouloir se mouvoir lentement d’avant en arrière (je le retenais régulièrement mais aussi rapidement, le mouvement d’oscillation semblait vouloir à chaque fois repartir) : les testicules furent malaxés et encore malaxés, la queue elle-même fit l’objet de façon périodique d’une prise en main de toute évidence jugée intéressante par l’observateur du dessus (qui dans ces moments avait besoin d’un souffleur pour poursuivre son récit), les poils entre le nombril et ce sexe qui satisfaisait ma gourmandise étaient tirés à l’occasion, les fesses voyaient elles aussi mes mains les passer régulièrement dessus, enfin, outre son buste et ses jambes de toute apparence moins sensibles, l’irruption soudaine et inattendue pour Jean-Philippe d’un de mes doigts près de son anus provoquait des réactions de contraction dont je ne pouvais déterminer si elles étaient une invitation à poursuivre ou une injonction d’arrêter. Une chose à la fois, me suis-je alors dit, nous approfondirions la chose plus tard si l’occasion s’en présentait. À l’entendre (enfin, quand je le pouvais), je compris en ce moment que Jean-Philippe était soit un très chaud lapin (comme on dit quand on parle d’un mec), soit un sacré vantard. Des huit filles dont il me parla, en décrivant sommairement les plus beaux attributs corporels de chacune d’elles (les beaux ...
    ... nichons de Maria, les beaux petits culs de France et d’Alicette et le nettement plus gros d’Angela, le clitoris hors norme de Caroline, etc.), il m’apprit, entre deux souffles courts, que toutes avaient accompli ce que je lui faisais au moment même (peut-être de façon moins sophistiquée toutefois), que Sophie était la plus perverse (il était accompagné de trois potes à lui quand elle lui a fait l’honneur de le faire entrer dans son intimité), que (si j’avais bien compris) il en avait sodomisé au moins la moitié (en fait quand il parlait de cul, je ne comprenais pas toujours s’il s’agissait de sodomie ou seulement de « simple » fornication). Avec l’une d’entre elles (Maria si je me souviens bien), il avait pris son pied quatre fois au cours d’une même nuit (et c’est notamment ici que je me suis dit que les hommes ne pouvaient jamais s’empêcher à un moment où l’autre de nous sortir leurs salades, encore et toujours cette stupide vantardise typiquement masculine). * * * Ceci dit, les mots qu’utilisaient Jean-Philippe avaient une fâcheuse tendance à devenir de plus en plus franchement pornographiques à mesure que les relations de confiance se fortifiaient entre Jack et moi. Là, je sens que tu vas me dire que franchement je déconne à plein tube : c’est vrai quoi : Je suis à genoux, aux pieds d’un homme que je viens d’aguicher pendant des heures, à lui démontrer (et comment !) qu’il a eu raison d’attendre pour obtenir cette vision en haute définition, je lui titille les parties les plus ...
«12...222324...32»