1. L'histoire de Marie Christine (5)


    Datte: 10/05/2018, Catégories: Erotique,

    ... neuvième phallus je n’avais plus assez de glaire pour recommencer l’opération, je décidai donc de pisser dessus. Mais il y avait un autre problème, celui de la taille. On en était rendu à celle d’un poing fermé. Je me détendis autant que possible, mais l’intromission était périlleuse. Une partie du public m’encourageait ouvertement. Je ne pouvais m’aider de mes mains car ceci était disqualifiant. Je fis aller et venir mon sexe sur l’objet tout en me vidant des dernières gouttes d’urine que ma vessie pouvait contenir. Laborieusement je me laissai aller sur le monstrueux braquemart. Au bout d’innombrables efforts je sentis le bois de la poutre contre mon sexe. J’étais terriblement distendue, probablement déchirée. Quand j’eus évacué le gode en poussant sur mes pieds, je remarquai quelques gouttes de sang mêlées à l’urine le long de mes cuisses. Je décidai d’en rester là, le public applaudit à nouveau ma performance. Le médecin que je vis le lendemain dut me poser cinq points pour fermer la blessure que mes derniers efforts avaient occasionnée. Le pilori m’attendait pour la troisième épreuve. Je me rendis compte que je suais abondamment. Tête et poignets emprisonnés, penchée à 90° les jambes bien écartées, des pinces crocodiles furent placées sur les anneaux de mes seins et de mes grandes lèvres. L’assesseur envoya un léger courant qui me fit tressaillir, pour vérifier la bonne marche du générateur électrique. Puis il approcha de mes fesses un gode long et souple, qui, ...
    ... curieusement, était gradué. Il réussit à enfoncer dans mon cul ouvert les soixante centimètres de l’engin. Ce qui suscita quelques bravos dans l’assistance. Ma gorge accepta ensuite 35 centimètres du même engin, avant que je commence à régurgiter douloureusement. Le courant était envoyé par séquences de 5 secondes avec une pause de trente secondes et un voltage qui augmentait ensuite. Je résistai longtemps jusqu’à ce que les brûlures m’obligent à stopper le processus. J’avais la chatte en feu et mes tétons en fusion étaient raides et violacés. J’aurais sans doute pissé de douleur mais je n’avais plus de liquide à évacuer. J’avais supporté ses épreuves sans un mot, car je savais que le moindre cri était éliminatoire. Je savais aussi que la dernière épreuve était la plus rude. Je fus attachée, face tournée vers le public, à la grande croix de Saint André, pieds et poings liés, ouverte et offerte au fouet. L’assesseur commença par me cravacher les seins. Je devais compter à haute voix chaque coup. Seuls les coups qui atteignaient les mamelons comptaient. Je reçus la série de dix sans broncher. A l’avant dernier le type recula et, au lieu de tomber à plat sur ma poitrine, le fouet trop court ouvrit de son extrémité mon téton gauche qui se mit à rougir sérieusement. Suivit ensuite la série réglementaire sur le ventre et les cuisses. Je brûlais littéralement, des zébrures profondes formaient de petits bourrelets successifs sur ma peau tendre. Certains des coups redoublaient sur des zones ...
«12...4567»