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Fariza, la voisine
Datte: 11/05/2018, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou
... jusqu’à la faire mourir de plaisir ! Elle voulait qu’après cela je la baise avec mon gros zob et que la fasse jouir plusieurs fois ! Qu’à partir de maintenant je lui appartenais totalement ! Très vite la jouissance vint ; puissante et bruyante. Elle criait très fort qu’elle allait mourir ! Qu’elle jouissait ! Qu’elle coulait ! Qu’elle était au paradis ! Et puis tous ses muscles, tendus à l’extrême, se relâchèrent ; elle s’affaissa totalement sur la table de la cuisine.Je la regardais, mi étonné, mi heureux. Étonné, parce qu’à aucun moment je n’avais imaginé que j’allais faire un jour l’amour avec cette femme. Heureux, parce que je trouvais chez elle cette soif de jouissance dont je rêvais chez la femme qui m’appartiendra. Elle reprit rapidement ses sens et me regarda avec ses yeux de biche apaisée. Elle me fit un grand sourire coquin et me dit dans un souffle :- Nique-moi !Mon gourdin pendant tout le temps que je la masturbais était resté sur sa faim. Il voulait sa part du gâteau ! Je me mis entre les jambes de ma maîtresse, lui souleva les genoux jusqu’à sa poitrine et présentai mon dard devant l’entrée de sa chatte. Sans ménagement aucun, pensant que c’était comme cela qu’il fallait faire, je le fis pénétrer d’une brusque poussée de mon bassin jusqu’au fond ; jusqu’à ce que mes couilles vinrent cogner contre ses grandes lèvres. Je sentis que je lui avais fait mal, mais elle ne dit rien, ni ne fit rien qui me dissuadât de continuer. Je continuai donc à honorer sa chatte ...
... visqueuse et chaude et à frotter et limer les parois de son vagin à grands coups de mon gourdin qui était heureux dans ce merveilleux tunnel. Malgré les deux enfants qu’elle avait eus, son vagin était resté très élastique ; il enserrait fortement mon sexe qui ressentait ainsi très intensément chaque frottement avec les parois du tunnel. C’était vraiment autre chose que le plaisir que m’apportait la masturbation à laquelle j’avais recours pratiquement tous les matins pour apaiser mes sens en feu. C’était autre chose que les flirts, même très poussés, avec mes copines étudiantes.Fariza ressentait la force de mon sexe et savourait l’instant. Pendant tout le temps que la fourrais elle n’arrêtait pas de dire qu’il lui appartenait, qu’il était fait sur mesure pour sa chatte et que jamais plus ils ne se quitteraient. Je continuais à la tirer comme une brute en la faisant crier de plaisir. Elle dodelinait sans arrêt de la tête et son dodelinement s’accélérait au fur et à mesure que grandissait en elle le plaisir que lui donnait l’engin qui la défonçait. Elle aimait réellement se faire tirer comme cela en force et sans ménagement. A aucun moment, elle ne sollicita de moi que je la caresse, que je l’embrasse ou que je m’occupe en même temps de ses seins. Non, ce qu’elle voulait, c’est que mon engin montre toute sa force, lui démolisse la chatte et la fasse jouir comme une bête.- J’aime ton gros zob ! J’aime les gros zobs ! J’adore les gros zobs ! J’adore être niquée par des gros zobs !Et ...