1. Fariza, la voisine


    Datte: 11/05/2018, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou

    ... soudain, elle s’arrêta de parler pour pousser un long râle et décharger avec v******e. Ses ongles se plantèrent sur mes reins qu’elle tirait avec force, dans une tentative de garder en elle mon engin. Moi je continuais imperturbablement mes longs mouvement de va et vient dans son con. Je sentais que la jouissance n’allait pas tarder à arriver ; j’accélérai le mouvement en lui remontant encore plus haut les genoux que je maintenais fermement de part et d’autre de sa poitrine. Mes couilles arrivaient jusqu’à l’entrée de sa chatte très largement ouvertes et repartaient en sens inverses pour revenir rapidement jusqu’à l’entrée de sa fente. Mes coups de boutoir répétés réveillèrent son désir ; elle se remit à gigoter, à dodeliner de la tête et à baver de plaisir. Au moment même où j’explosais en elle en poussant un puissant râle de jouissance et en libérant une tonne de foutre dans son vagin, elle eut un très fort orgasme qui lui fit décharger une tonne de jus qui vint se mêler à mon sperme.Nous restâmes comme cela l’un dans l’autre un long moment, reprenant notre souffle et puis nous nous séparâmes en nous regardant, avec chacun un sourire de contentement et de bonheur. Je sentais en effet qu’elle était heureuse et qu’elle venait de vivre un moment passionnant entre mes bras. Je la soulevais de la table de la cuisine sur laquelle elle était encore à demi allongée et la portai jusque dans ma chambre pour la mettre au lit et m’allonger près d’elle. Je voulais encore la garder ...
    ... avec moi pour lui refaire l’amour et surtout pour apprendre à mieux la connaître. J’étais en effet tout étonné de la facilité avec laquelle elle s’était offerte à moi. Je lui posais toutes sortes de questions pour faire plus ample connaissance. Elle ne s’offusquait pas de ma curiosité malsaine. Elle répondait aux questions simplement, presque avec détachement.Elle m’apprit ainsi beaucoup de choses sur elle et la vie qu’elle a eue avec son mari ; en plus de tout ce que je connaissais d’elle, à travers ce que nous en disait ma mère. Que ses parents l’avaient échangé contre une importante dette qu’ils avaient contractée envers son mari et qu’ils ne pouvaient pas régler. Qu’elle avait longtemps refusé d’appartenir à son mari, pensant que tant que le mariage n’était pas consommé, elle était légalement célibataire. Qu’elle avait espéré longtemps un miracle qui l’aurait délivrée. Que son mari, à bout de patience, avait fini par la violer. Que depuis, elle était devenue neurasthénique. Jusqu’à la naissance de ses deux fils qui sont, depuis, devenus le centre de sa vie. Sexuellement, elle n’avait que des relations épisodiques avec son mari. Une fois tous les quinze jours, toujours de nuit et dans le noir, il la chevauchait rapidement prenait son petit plaisir et s’endormait. Actuellement, beaucoup plus vieux et plus fatigué, il se contentait d’une fois par mois ou tous les deux mois ; encore préparait-il la séance longtemps à l’avance, en prenant des décoctions de plantes, réputées ...
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