1. Fariza, la voisine


    Datte: 11/05/2018, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou

    ... regonfler les capacités sexuelles des hommes, qu’il achetait chez un herboriste renommé de la ville.- Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais trompé ton mari ! Que jamais de ta vie tu n’as connu de jouissance sexuelle avec un homme ! Ce serait assez incroyable !- Tu sais, me répondit-elle, j’ai honte de te l’avouer mais pendant une période, pour me venger du sort injuste qui m’était fait, j’ai eu un véritable comportement de pute ! Quand j’étais en chaleur et que je n’arrivais plus à prendre du plaisir en solitaire, je sortais et allais dans un quartier loin d’ici, pour faire du stop à des voitures conduites par des hommes seuls. Le plus souvent, ils m’emmenaient dans un endroit discret et me tiraient sur le siège arrière de la voiture. Ils me ramenaient ensuite là où ils m’avaient prise et me donnaient rendez-vous pour le lendemain. Bien sûr je n’allais pas au rendez-vous. Mais je recommençais quelques semaines après. Jusqu’au jour où je suis tombé dans un piège qui a failli me coûter très cher. Je suis montée avec un homme d’une trentaine d’année. Il récupéra en cours de route un ami qui l’attendait en me disant qu’il allait le déposer en chemin. Au lieu de cela il fila à toute vitesse et ne s’arrêta qu’à l’intérieur d’une forêt, située à quelques kilomètres de la ville et que tous les couples sans domicile utilisaient comme lupanar. Ils m’emmenèrent dans un coin reculé, m’ont frappé violemment pour m’obliger à la soumission, m’ont violé à tour de rôle plusieurs fois, ...
    ... m’ont dépossédé de tout ce que j’avais sur moi et m’ont laissé là, à demi morte, mes habits déchirés, sans argent. Heureusement que je portais toujours un voile (un haïk) quand je faisais ce genre de sortie; je m’en couvris, arrêtait un taxi de passage, lui expliquait que je venais de me faire agresser et voler tout mon argent et mes bijoux et qu’il fallait que je rentre chez moi. Je lui promis qu’il sera payé dès que j’arriverais à la maison. Il me crut et me ramena chez moi. Depuis cette mésaventure, j’ai arrêté mes parties de dragage et je ne me suis plus jamais faite sauter dans une voiture ; ni nulle part ailleurs !Je l’embrassais longuement pensant naïvement que mes baisers suffiraient à refermer ses plaies. Elle répondit longuement à mon baiser. Je lui demandai de se déshabiller pour que j’admire la beauté de son corps. Elle refusa. Elle a d’ailleurs toujours refusé de se mettre nue devant moi. Il y avait chez elle une sorte de pudeur incompréhensible, qui faisait qu’elle me laissait voir n’importe quelle partie de son corps, mais isolément; jamais la totalité à la fois. J’avais vu et admiré sa chatte, ses fesses, son anus, son ventre, sa poitrine, mais jamais tout cela en même temps. Elle disait qu’elle n’était plus très jeune pour avoir gardé un corps parfait et désirable (« comme tes petites copines ! » ajoutait-elle souvent) et que les deux grossesses qu’elle a eues avaient déformé son corps ; qu’elle avait grossi et qu’elle est devenue trop ronde; et plein d’autres ...
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