1. Philippe, mon voisin impitoyable - Partie 5 (Fin)


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... appartement, mais c’était tout de même moins risqué que de se voir chez moi où chez Philippe. Vers 17h30, après m’être douchée, j’enfilai un string noir en dentelle, une robe rouge moulante qui mettait en valeur ma poitrine ainsi qu’une paire d’escarpin noire à talon haut. J’attrapai ensuite une veste, mon sac à main et je me rendis à l’appartement. Lorsque j’arrivai 30 minutes plus tard, Philippe semblait déjà être là car des chaussures d’homme étaient à l’entrée. Je me débarrassai de ma veste, de mes escarpins et de mon sac puis je me dirigeai vers le fond. Je pouvais entendre l’eau couler dans la salle de bain, il était sûrement en train de prendre une douche. Je rentrai dans notre chambre habituelle puis je m’allongeai sur le lit quelques minutes en l’attendant. -Morgane ? demanda une voix. Je me redressai immédiatement. Richard se tenait devant moi, torse nu et il se séchait les cheveux avec une serviette. -Excusez moi, bafouillai-je en me levant, je croyais que c’était Philippe. -Il n’y a que nous deux, lança t-il en s’approchant. J’étais terriblement gênée et lui avait les yeux braqués sur moi, ou plutôt sur mes seins qui n’était pas très couverts. -Tu es vraiment magnifique, me dit-il. -…merci, répondis-je en croisant mes bras sur ma poitrine. Pourquoi Philippe m’avait t-il donné rendez-vous ici alors que Richard était là ? D’ailleurs, où était Philippe ? Et pourquoi Richard n’arrêtait pas de me regarder comme ça ? Avant que je n’eu le temps de comprendre, Richard ...
    ... me poussa sur le lit, puis en une fraction de seconde, il s’allongea sur moi et commença à m’embrasser. Je me débâtis du mieux que je pus, mais ça ne servis à rien tant il était imposant. Furieusement, il fit remonter ma robe, puis il glissa sa main sous mon string et m’enfonça un doigt dans la chatte. -ARRÊTEZ, hurlais-je lorsqu’il libera enfin ma bouche. -C’est quoi ton problème ? me lança t-il énervé. Il m’a dit que tu avais l’habitude de le faire sauvagement. -Mais de quoi vous parlez ? lui demandai-je effrayée. -Si tu es là c’est que tu as accepté le marché ma grande ! -Laissez-moi partir s’il vous plait, le suppliai-je. Il se releva et recula un peu tandis que j’arrangeai ma robe et tentai de me remettre de mes émotions. -Écoute, me dit-il en s’appuyant contre le mur, Philippe m’a promis un moment avec toi en échange de mon silence sur votre…aventure ! -Je ne suis pas une prostitué, répliquai-je estomaquée. Je n’en revenais pas, ça ne pouvait pas être vrai. Philippe n’aurait pas pu me faire une chose pareille, ce n’était pas possible. Mais en même temps où était-il ? Pourquoi ne m’avait-il pas appelé ? J’étais en colère, plus que je ne l’avais jamais été auparavant. J’étais sidérée. Il ne me respecterait donc jamais ? J’étais sa chose, son pantin, juste un fourre queue. Je m’avançai vers la porte mais Richard me barra la route. -Laissez-moi partir, lui ordonnai-je, rouge de honte et de colère. Il me dévisagea un moment de la tête aux pieds, sans dire un mot, puis il se ...
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