mon divorce
Datte: 12/05/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Mature,
Le retourJ’approche de Perrache quand mon boss m’appelle sur mon portable.— George, la réparation est annulée, le paysan a trouvé la raison de la panne de sa faucheuse, batteuse lieuse récolteuse botteleuse. Tu peux rentrer.— Bien, Je repasserai au bureau demain.— Merci de t’être déplacé à la place de Henri qui était malade, tu peux prendre le temps de la réparation en congé payé si tu le désires— Merci, je vais bien en profiter pour descendre un peu vers le sud.Bon, que me reste-t-il à faire, je suis indécis d’aller à Nice contre le retour à la maison et profiter de ce temps de congé avec Martine ma douce et tendre épouse.Je décide de choisir la deuxième option et mets mon portable hors service, des fois que le boss reviendrait sur son idée.À un demi kilomètre de la maison, j’ai droit à une crevaison, ce qui m’arrive presque jamais, c’est bien ma chance, j’amène la voiture à mon garagiste pour qu’il me change la roue et lui demande de me ramener à domicile.Paradoxalement, en arrivant, la maison est vide, en contrôlant sur le Jaloton de sécurité, je vois que Martine est partie il y a bien deux heures et qu’elle devrait bientôt rentrer. Je m’installe dans le salon en laissant les lumières éteintes. Je m’assoupis un peu quand j’entends un voiture, puis une deuxième arriver. Je reconnais la voiture de mon boss et d’Henri. Que viennent-ils chercher à domicile, ai-je fait un impair pour qu’ils viennent perquisitionner dans mes affaires.Je me retire dans l’appentis et curieux, ...
... je me cache discrètement. J’entends des rires dans la pièce d’à côté. J’entends mal les conversations, car Martine a mis de la musique, mais ce n’est pas une perqui.J’ai plutôt l’impression que les bords de mon crane me démange, Je sens des excroissances me démanger.Je patiente un peu jusqu’à ce que j’entende la musique s’arrêter, maintenant, je saisis la conversation. Pas de doute, la coquine profite de mon absence avec le patron et son suppléent. Je ne vois rien, mais j’entends et là pas de doutes. Ils manquent du respect le plus élémentaire vis-à-vis de mon épouse.— Suce salope, j’entends, cela te plaît d’avoir deux mâles pour toi.— Henri, si tu savais comme elle mouille, c’est un vrai fleuve. Sens un peu ce torchon qui lui servait de culotte. Ça c’est de la femelle.J’entends qu’il quitte le salon pour aller vers notre nid d’amour. Je vais m’amuser un peu. J’ai dans mon appentis, un bloc roue, à cause d’un voisin qui me bouchait toujours le passage. Je vais bien bloquer ces deux salauds. On va rigoler quand ils vont sortir.Une fois la deuxième voiture bloquée, je remonte à la maison très discrètement et je vois la porte de la chambre à coucher qui est restée entre ouverte et je vois ma chérie avec Henri qui est à genoux derrière elle en train de lui lécher la rondelle alors que mon patron lui offre sa frankfurt à déguster.La lumière est encore suffisante et je ne peux m’empêcher de sortir mon portable et clic-clac je mitraille cette scène digne d’un bon porno.Je ressors ...