mon divorce
Datte: 12/05/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Mature,
... qu’un employé de son mari devrait avoir avec elle. Sans s’encombrer de sentiments, elle s’écarte légèrement et place sa main, juste sur mon zip déformé par l’émotion.— Hum, je crois qu’il y a là de quoi passer une bonne fin d’après midi.Désinhibé, je ne peux m’empêcher de mettre ma main sur sa poitrine qu’elle pousse en avant.— Ils te plaisent mes seins.— Plus que cela, ils me donnent envie de les baiser. J’aime les seins menus.— Viens, allons dans ma chambre, on va faire cela tout tranquillement.Sans trop s’attarder sur les préliminaires, on se déshabille mutuellement et tout de suite on se concentre sur les objets d’intérêt principal.Je me concentre sur ces seins, menus, mais avec des tétons bien marqués qui appellent aux suçons, tant-dit qu’elle prend les choses en main selon l’expression consacrée et commence à me traire la bite délicatement. Au bout d’un moment, sentant monter vers mon nez, des phéromones attirantes, je délaisse sa poitrine pour un moment pour me rassasier de son minou, qui est fort beau.— Cela fait un moment que je ne l’ai pas entretenu, vu le peu de visites que m’octroie mon époux, c’est un peu la forêt vierge, c’est comme mes aisselles, je me laisse un peu aller.— Ce n’en est que meilleur, je réponds en plongeant vers ce merveilleux gazon qui ne demande qu’à être brouté, sans oublier cette délicieuse petite fève à déguster sans modération.— C’est bon, j’aime beaucoup.Avec frénésie, je malaxe ses fesses qu’elle a, ma foi, fort attirantes, la douceur ...
... de ses cuisses a un effet dilatoire sur ma saucisse.Tant à boire l’ambroisie des Dieux, on se sent l’envie irrépressible de se laisser conduire par les phéromones et plonger son pistil dans ce calice en fusion.Remontant le long de son corps, car j’ai la bouche un peu poisseuse de son plaisir en face de la sienne, elle me la refuse, mais ma queue se trouve bien placée pour investir sa place de fête. D’un coup violent, je la propulse au plus profond de sa grotte des miracles.Juliette n’attendait que cela, elle répond bien à mes coups de semonce, son bassin s’anime d’une houle de plus en plus marquée. Elle ne dit rien, mais j’ai fortement l’impression qu’elle savoure en silence mon intrusion. Délicatement, je l’embrasse dans le cou, tout près de l’oreille gauche et parfois je prends le lobe que je suce avec délice.Elle transpire de plus en plus, rependant son odeur qui m’excite sous mes narines, pire, la voila qui lève ses bras, découvrant une toison fournie sous ses bras. Je ne tiens plus, je commence à lui lécher les aisselles, à savourer cette luxuriance un peu vinaigrée. Je ne sais ce qui se passe dans l’esprit des femmes, mais elle part d’un coup dans un orgasme violent, serrant mon sexe dans le sien avec frénésie. Je suis obligé de serrer les dents pour ne pas partir trop tôt, mais sans succès, elle me trait littéralement la pine pour en extraire son jus. Je me déverse à gros bouillons dans sa matrice si accueillante.Je me dégage, ma bite ayant perdu momentanément de sa ...