1. mon divorce


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Anal Hardcore, Mature,

    ... superbe et il faut un peu reposer les bras et je m’étale à ses côtés.— George, j’aimerais te donner quelque chose que j’ai toujours refusé à mon mari, mon cul. Ma vengeance sera meilleure comme cela. Tu as été si tendre que je pense que tu pourras le faire sans que j’aie à le regretter et oubliant sa réticence préalable, elle me colle un magnifique patin, savourant de sa langue les reliefs de sa jouissance.— Je veux bien Juliette, mais il faut préparer l’anus à la visite, sinon c’est pas agréable pour une femme. Est-ce que tu as de la vaseline ?— Oui, je vais en chercher.Elle revient avec un tube qu’elle pose sur la table de nuit en se mettant à quatre pattes, J’ai l’impression qu’elle est pressée de pousser plus loin sa vengeance., mais je veux prendre mon temps pour goûter son petit trou. Il faut que je recharge et je n’ai plus la fougue de mes vingt ans.J’approche mon visage de l’entrée de service et avec ma langue, je commence à lui lécher l’oignon.— Mais George, c’est sale ce que tu me fais là.— C’est mon affaire, mais est-ce bon ?— C’est délicieux, je n’aurai jamais pensé que le trou du cul pouvait être aussi sensible et réceptif de caresses.Une fois le fion enduit de salive, je me permets de mettre un doigt qui rentre sans problème, j’en profite pour tout de suite en placer un deuxième qui a un peu plus de peine à rentrer. Je les active en les ressortissant à moitié et les faisant tourner, j’écarte un peu les doigts et de l’autre main, je lui paluche gentiment le côté ...
    ... pile, passant de la balafre qui suinte le jus que je lui ai fourni, le bouton qui se rebelle.Je ressors mes deux doigts, entraînant un soupir de déception, mais tout de suite, j’en graisse trois des déjections qui sortent de son sexe, une fois bien enduit, je les replante dans le fondement, provoquant un gémissement de plaisir retrouvé. À force de la voir apprécier le traitement, je sens que mes forces reviennent et je rebande à nouveau bien dur.— Juliette, je suis prêt et je pense que ton œillet l’est aussi.— Viens, j’ai vraiment envie que tu me prennes comme cela, mes intestins réclament ta présence réconfortante.Il n’en faut pas plus et avec précaution, j’avance ma queue vers son trou du cul, j’appuie doucement sur le pertuis quand Juliette d’un violent coup de cul s’enfile jusqu’au trognon.Le proverbe dit : ce que femme veut, Dieu le veut, c’est pas que je me prenne pour Dieu, même si je suis en train de sonder l’insondable.C’est vraiment super la sodomie, à croire que les femmes ne le font qu’avec leur amant. Martine qui se faisait enculer par Henri, m’avait toujours refusé l’accès à son arrière-train. Tout comme Juliette à son mari. Drôle la vie.Gaillardement, je lui bourrais le cul avec entrain, mais petit-à-petit, la fatigue se fait sentir sur les bras et sans me sortir, je lui propose que je me mette sur le dos et qu’elle mène la danse.Par commodité, elle se dégage et me laisse m’étendre sur le dos avant de me tourner le dos en se laissant descendre sur mon mandrin. ...
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