La Baronne et le plombier
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... m’avait si déçue avait pris des dimensions extraordinaires… Jamais je n’aurai cru cela possible…— Abrège, grognai-je soudain. Je sens que ça vient…— Moi aussi mon chéri… Retiens-toi, j’ai presque fini… Muette d’étonnement, j’ai regardé Lucien se branler sans émettre la moindre réflexion… Je comprenais que j’assistais à quelque chose de prodigieux… Les paroles des grandes du lycée me revenaient en mémoire… Et plus le garçon s’asticotait le membre, plus je sentais une étrange chaleur se propager dans mon bas-ventre et une humidité suinter de ma petite chatte et mouiller ma culotte… Il était temps que Antoinette achève son récit, car j’avais de plus en plus de mal à contenir mon éjaculation. J’aurais dû cesser de me masturber, mais je m’en sentais incapable, excité comme je l’étais. — Quand il a joui, quand j’ai vu pour la première fois ces jets blanchâtres jaillir de sa bite j’ai bien cru m’évanouir. Un spasme violent m’a saisi et j’ai inondé ma culotte… Ce n’est que plus tard que j’ai compris que j’avais eu un orgasme, que j’avais….. Oh Mon Dieu ! … Je jouis…. Aaahhhh… A se remémorer ses souvenirs tout en se masturbant et les seins et le clito, Antoinette n’avait pu terminer son récit, la jouissance l’avait saisi, sans qu’elle ne puisse la contrôler. Je n’avais plus de raison de me retenir. Dans un grognement jaillissant du plus profond de mes entrailles, je lâchais ma semence… Le premier jet, épais et puissant alla s’écraser sur le haut du sein gauche de la quinquagénaire ...
... qui s’exclama d’une voix enjouée : — Oh oui ! … Encore ! La seconde giclée, aussi consistante que la première, après une parfaite parabole atterrit dans le profond sillon séparant les lourdes mamelles, dans lequel il s’infiltra. Puis les autres salves, décochées en rafale de moins en moins intenses, finirent de souiller les énormes seins blanchâtres. Chaque émission de sperme était accueillie de la part d’Antoinette, par un gloussement de délectation. — Encore… Oh encore ! ne cessait-elle de réclamer. Cependant à bout de munitions, je cessai mes bordées de sperme en direction de la poitrine que la quinquagénaire m’offrait généreusement. Haletant, reprenant doucement mes esprits, je contemplais le fascinant spectacle de ces seins blancs que leur propriétaire avait relâchés et qui, suivant la pesanteur mis en évidence par le célèbre Isaac Newton, s’étaient mollement avachis. L’air béat, Antoinette examinait les longs sillons blanchâtres qui souillaient la chair de ses énormes mamelles. M’approchant du visage extatique de la quinquagénaire, je l’empoignai par son chignon : — Suce-moi ! ordonnai-je… Nettoie-moi la queue ! Sans se faire prier, Antoinette ouvrit largement sa bouche aux lèvres gonflées entre lesquelles je m’empressai d’introduire ma verge encore bouffie. Avec un borborygme de satisfaction, madame la Baronne aspira mon gland pour le sucer et le lécher consciencieusement tout en étalant de ses paumes, mon sperme gluant, sur ses lourds nichons. Quand enfin, au bout de ...