La Baronne et le plombier
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... frémissantes, me grisant de la tiédeur qui s’en dégageait. Lentement j’avançai mes mains sur les cuisses parcourues de longs frémissements, les agaçant encore davantage par de légers frôlements de mes dix doigts. Aussitôt j’entendis le souffle saccadé de ma compagne s’accélérer, comme si la malheureuse manquait soudainement d’oxygène pour respirer convenablement. Sans hâte, réfrénant mes pulsions lubriques, je continuais d’agacer la chair parcourue de tressaillements. Désirant amplifier encore le désir qui faisait haleter ma victime au-dessus de moi, je m’ingéniais à frôler, effleurer la chair frissonnante des cuisses depuis les genoux jusqu’à la limite que m’autorisait le peignoir chiffonné, me contraignant à ne pas dépasser cette limite. Cependant dans mon slip, ma verge se trouvait de plus en plus à l’étroit. Ma compagne si volubile, quelques instants plus tôt, était devenue étrangement silencieuse tout à coup. Seule sa respiration saccadée perturbait le silence de la salle d’eau. Je pouvais voir ses hanches s’agiter nerveusement, son bas-ventre s’avancer dans ma direction en une invite sans équivoque. Je continuai, imperturbable, mon pervers manège pendant encore quelques minutes, laissant mes doigts courir sur toute la surface interne des cuisses qui vibraient de plus en plus intensément. Aux mouvements de plus en plus désordonnés de la quinquagénaire installée sur son bidet, telle une amazone sur sa monture, je sus que j’avais atteint l’objectif que je m’étais ...
... imposé. Jugeant ma compagne suffisamment excitée, et l’étant moi-même autant qu’elle, je décidai alors de pousser plus avant mes palpations érotiques. Avec une espèce d’ivresse sensuelle, je remontai lentement mes mains le long de la chair frissonnante. Graduellement, pour jouir au maximum de ce moment privilégié de la découverte de ce sexe nouveau. Le cœur battant, aussi ému que lors de ma première aventure sexuelle à l’age de seize ans, je repoussai le peignoir qui me cachait encore cet entrecuisse convoité. Le léger vêtement s’écarta de lui-même, tel le rideau d’une scène de théâtre avant une représentation. Le spectacle qui s’offrit alors à ma vue me surprit si fortement que je demeurai un instant incapable de faire le moindre mouvement. Le bas-ventre de la quinquagénaire était protégé par une culotte blanche qui avait dû être à la mode au temps de la jeunesse de sa propriétaire. Tout en dentelle d’une finesse extrême, le sous-vêtement d’un autre âge ceinturait les hanches épanouies, masquant le nombril et descendant jusqu’à mi-cuisses qu’il enserrait par un large élastique orné de petites fleurs roses. On était loin des strings portés par les jeunes filles d’aujourd’hui. Madame la Baronne portait une culotte qui avait dû appartenir à son aïeul… Seule une large tache plus sombre, au niveau du pubis, assombrissait la dentelle et me renseignait sur la pilosité abondante de ma compagne. Dépité par une lingerie aussi hermétique qui faisait comme un barrage infranchissable à mon ...