La Baronne et le plombier
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... exploration sexuelle, je tâchai d’apaiser ma déception en forçant les cuisses de la quinquagénaire à s’écarter au maximum afin d’approcher mon visage de ce pubis convoité. Comprenant mes intentions, et désirant peut-être encore plus que moi ce genre d’attouchement, ma sensuelle complice s’installa plus commodément sur son siège de faïence afin de me faciliter la tâche. Lançant ses bras derrière elle pour s’appuyer des deux mains au bidet qu’elle chevauchait, elle projeta ainsi son bas-ventre en direction de mon visage, en une invite complice et impatiente. Dans ce mouvement plein d’une fébrilité érotique, la quinquagénaire m’offrit en toute impudeur la vision de son entrecuisse et de nouveau je demeurai ébahi devant ce que mes yeux découvraient. Cette culotte du début du siècle qui m’avait paru aussi hermétique qu’une ceinture de chasteté du moyen âge, s’ornait dans son entrejambe d’une longue ouverture bordée d’un fin liseré rose. De cette brèche dans les dentelles, un luxurieux buisson noir avec quelques bouclettes grises s’échappait, si abondant, si touffu, qu’il masquait entièrement les grandes lèvres de la fente sexuelle nichées en son centre. Je restai quelque peu étonné par la différence de teinte entre les poils pubiens très brun et la chevelure, qui tirait plutôt sur le gris, de cette femme qui s’offrait maintenant avec une impudeur totale à mes regards. Un indéfini émoi m’envoûta. Découvrir cet entrecuisse hirsute, à l’état naturel, alors que la mode poussait les ...
... femmes et même les jeunes filles à se raser le pubis, me ravissait au point que je demeurai un long moment à le contempler. Un sexe féminin rasé, perdait pour moi tout son mystère, donc une grande partie de son attrait. Me découvrant alors des instincts d’explorateur, de découvreur de sites oubliés, je débroussaillai de mes doigts cette futaie depuis longtemps abandonnée et redevenue à l’état sauvage. Dans ma poitrine, mon cœur battait aussi intensément que lors de mes premiers attouchements sexuels. Un murmure langoureux me parvint aux oreilles : — Oh oui !… Fouillez-moi ! La quinquagénaire qui me semblait comblée par mes grivoises initiatives m’encourageait à m’aventurer plus avant dans sa forêt vierge. À l’aide de mes pouces je repoussai les bouclettes emmêlées, découvrant enfin les grandes lèvres gonflées d’une vulve épanouie. Saisissant les larges babines sexuelles congestionnées, je les séparai l’une de l’autre afin de découvrir cette grotte charnelle depuis longtemps oubliée. De cette caverne aux chairs cramoisies, une rosée luisante suintait des parois. Comme je m’apprêtais à venir goûter à cette liqueur qui sourdait des tréfonds du vagin que mes attouchements avaient ramené à la vie, la quinquagénaire, encore plus impatiente que moi, avide de retrouver ce baiser subtil que son sexe n’avait certainement pas connu depuis longtemps, m’agrippa la nuque d’une main décidée pour attirer mon visage contre sa chatte affolée : — Broutez-moi le minou ! grogna-t-elle, léchez-moi ...