Sylvia, femme d'action (3)
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
Hétéro
... mission était simple : l’en empêcher. Le problème, c’était que ce type était paranoïaque et restait prudent. Par contre, il avait une faiblesse : les femmes. Il ne résistait pas à un joli minois et s’assurait très souvent, quand il était en déplacement, les services d’une escort-girl. Pour accomplir sa mission, elle devait l’approcher comme étant sa compagne d’un soir et subtiliser les documents en question, ou les détruire si besoin. Pour cela, elle avait carte blanche. Elle pouvait employer tous les moyens possibles comme le chantage, ou encore donner de sa personne. Pour les besoins de la mission elle s’était fait une couleur, mis des extensions et des lentilles de contact. Elle savait que son client, amateur de bonne chère, descendait à chaque fois au même hôtel, un palace étoilé garantissant une discrétion irréprochable à ses clients. La vraie call-girl ayant été interceptée, séquestrée et grassement payée pour son silence, c’était à notre espionne débutante de jouer ; et c’est dans une tenue en cuir très sexy et recouverte d’un manteau de fourrure qu’elle se présenta à l’hôtel, toute maquillée et pomponnée. Après avoir eu le numéro de la chambre par le réceptionniste qui croyait avoir affaire à l’une des nombreuses prostituées de luxe commandées par les clients de l’hôtel, elle monta à l’étage. Arrivée devant la porte, elle se dit « Bon ; quand faut y aller, faut y aller ! » et frappa. Elle ne savait pas à quoi s’attendre ; elle ne savait rien de son client. Elle ...
... l’imaginait comme un golden boy,avec un physique style 007 période Pierce Brosnan Elle fut vraiment déçue de tomber sur un gros bonhomme d’un certain âge, 140 kg facile, en peignoir, qui lui ouvrit la porte. — Ah, c’est toi la fille de l’agence ? — C’est ça. — Je te connais pas, t’es nouvelle ? C’est quoi ton petit nom ? — Oui, je débute. Je m’appelle Jennifer. — Bien. Moi c’est Charles. T’as faim, t’as mangé ? — Non, c’est bon. — Parfait. Déshabille-toi vite : on a une soirée TRÈS chargée. A peine avait-elle fini de retirer sa robe que le gros pachyderme se jeta sur elle en lui disant « Ah, t’es vraiment bandante ! Allez, écarte les cuisses qu’on attaque les choses sérieuses. » Sans préliminaires ni quoi que ce soit, le type avait déjà commencé à la limer. Plaquée par son poids, elle profita du fait qu’elle était immobilisée pour tenter de localiser les documents. De là où elle était, elle voyait la mallette de son client et avait déduit que c’était là son objectif. Bon, maintenant il lui fallait trouver le moment opportun pour fouiller. Pour cela, autant l’épuiser au lit pour qu’il dorme le plus vite possible. Elle commença alors à l’embrasser à pleine bouche, à jouer à la femme amoureuse pour qu’il soit comme sur un nuage. — Oh, mais on dirait que t’aimes ça ? — C’est mon boulot. Si je n’aimais pas, j’en ferais un autre. — J’ai payé pour toute la nuit, et je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux. Maintenant retourne toi que je profite de ton autre petit trou. — Tout de ...