Sylvia, femme d'action (3)
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
Hétéro
... suite. Durant plusieurs minutes elle subit le pilonnage anal de ce type qui, une fois qu’il eut terminé, s’est écroulé en lui disant à l’oreille un petit « À tout à l’heure… » Elle a alors attendu qu’il commence à ronfler pour commencer à fouiller. Elle a regardé dans ses affaires mais elle ne trouva rien. La mallette restait fermée. Elle essaya durant presque une heure différentes combinaisons, mais elle comprit que ça allait lui prendre la nuit. Il lui fallait s’assurer que les documents qu’elle devait trouver y étaient ; elle ne pouvait pas se baser sur des suppositions. Elle allait devoir l’interroger, mais pour qu’il se mette à table, elle allait devoir user d’une bonne vieille arme : le chantage. Après avoir mis en place son piège grâce au matériel que l’agence lui avait fourni, elle se prépara. C’est alors qu’elle se servait un verre de scotch pour se donner un coup de fouet, et aussi un peu de courage, que son client se réveilla. — Ah, t’es là ! J’ai cru un instant que tu t’étais barrée. — Non, voyons. Jamais je ne laisserais le meilleur amant du monde tout seul. — Oh, toi tu sais comment me caresser dans le sens du poil. Dis-moi, t’as soif ? Tu sais que j’ai là un bec verseur qui distribue un nectar de toute première qualité. — Intéressant, j’ai hâte d’y goûter. Elle se positionna de telle sorte qu’ils se retrouvèrent en 69, et c’était reparti pour un tour. Chacun léchait et suçait l’autre ; le client semblait ne se douter de rien. Il faut dire qu’elle envoyait du ...
... lourd ! Ensuite elle s’est positionnée assise sur son bas-ventre et s’est empalée sur sa tige dressée pour se déhancher sur lui en souriant et en poussant des gémissements de plaisir simulés. Encore une fois le client ne voyait rien venir, trop occupé à lécher les deux globes mammaires qui pendaient devant lui. Au bout de quelques minutes, elle décida qu’il était temps d’agir. En l’embrassant partout sur son torse, elle s’arrangea pour monopoliser toute son attention, puis d’un coup elle lui attacha une main puis l’autre chacune à l’un des pieds du lit avec des menottes recouvertes de moumoute rose, accessoires fournis par l’agence. Puis elle descendit du lit et attacha un de ses pieds avec la cravate de son client et l’autre pied avec la ceinture de son pantalon, chacun à un pied du lit. — Oh, mais c’est que t’es d’humeur coquine… Tu veux jouer à la méchante fifille ? — Tait toi, la fête est finie ! Cette fois on ne joue plus. — Hein ? Comment ça, « la fête est finie » ? C’est moi qui paie, je te signale : t’es ma pute pour la nuit, donc tu fais ce que je dis. — Je ne suis pas ce que tu crois. Jusque-là on s’est bien amusé, mais maintenant tu vas te mettre à table. — Bordel, mais t’es qui à la fin ? — T’as pas à le savoir. Par contre, toi tu vas immédiatement me donner la combinaison de la mallette. — Si c’est du fric que tu cherches, y en a pas dedans. — Je m’en fous du pognon. Ce que je veux, ce sont les documents que tu transportes. — Quels documents ? — Je parle des plans ...