1. Les amoureuses et le sorcier


    Datte: 13/05/2018, Catégories: ff, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral conte, merveilleu, sorcelleri, merveille, Lesbienne

    ... seulement la présence des nommées Végane et Menedid ?— Si je suis venue aussi, répondit Mirabelle, c’est afin de vous proposer mes compétences de servante. Voyez-vous, je possède de l’expérience et cherche une place. Je sais tenir une maison, et sans vouloir faire injure au travail de vos deux n… de messieurs Fégor et Végor, vous auriez bien besoin d’une présence féminine auprès de vous, d’autant que les gages que j’attends sont fort modestes. Je ne demande que ma soupe et un lit, rien de plus.— Tiens donc, vous me demandez un emploi de bonne… Pourquoi pas ! Votre première tâche sera donc de m’accompagner jusqu’au gouffre de l’enfer, qui se trouve dans les sous-sols de cette maison, afin d’y conduire ces deux jolies personnes dont l’âme à présent m’appartient. Et au passage, vous pourrez leur dire, non pas adieu, car elles ne verront jamais ce personnage céleste dont je ne prononce jamais le nom, mais à jamais, ou à bientôt, si d’aventure vous basculiez vous aussi sur le sombre versant de l’humanité… Puis s’adressant à Menedid et Végane : — Ma nouvelle servante vous a-t-elle tenues informées du pacte qu’elle a passé pour vous deux afin de vous sauver du feu du bûcher ? Vous verrez, il fait assez chaud en enfer, également.— Oui, maître, répondit Menedid, cependant nous aurions une requête à vous formuler. Avant de rejoindre la demeure des souffrances éternelles, nous aimerions nous unir une dernière fois. Si vous le souhaitez, vous pouvez assister à nos ébats, qui sont, au ...
    ... dire des hommes qui en ont déjà été témoins, absolument magnifiques.— Vous voulez vous exhiber devant moi afin de gagner du temps ? Eh bien, je ne suis pas si pressé et assez curieux de voir cela, donc je vous en prie. Cela dit, si vous espérez en profiter pour vous échapper, abandonnez tout espoir : les portes de cette maison vous sont hermétiquement closes. Fégor et Végor s’en sont assurés, n’est-pas ?— Oui, maître, répondirent en cœur les deux nains, hermétiquement. Les deux amantes offrirent donc à leur hôte le joli spectacle de leur étreinte amoureuse. Le sorcier fut satisfait de contenter son regard voyeur et gourmand de la vue de deux jolies femmes pratiquant entre elles mille blandices aussi tendres qu’érotiques, éclairées par la flamme de bougies, ce qui donnait à leurs jeux lubriques un aspect étrange et tout-à-fait plaisant. Tout d’abord, elles s’embrassèrent à pleine bouche, avant de se caresser longuement les seins et aussi différentes parties du corps qu’il serait trop long d’énumérer ici. Elles se positionnèrent tête-bêche, afin de s’extraire délicatement, l’une pour l’autre, entre pouce et index, le clitoris du fourreau. Puis, chacune plongeant son visage au cœur de la toison pubienne de son aimée, elles se léchèrent mutuellement le minou, lapant à grands coups de langue le sang menstruel qui s’écoulait, mêlé de la cyprine sécrétée en abondance sous l’effet du plaisir suscité par l’agacement prolongé des petits boutons des délices, au moyen d’habiles balayages et ...
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