L'instit
Datte: 19/07/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
initfh,
f+prof,
... peine de partir. Alors que si tu épouses Guy, tu resteras ici, tu n’auras plus à travailler pour les autres et l’avenir de tes enfants est assuré.— Mais Michel, je t’aime, et même plus que ce que j’aimais mon mari. Mais tu es jeune et, c’est vrai, je dois penser à l’avenir de mes enfants.— Je ne doute pas de ton amour. Mais je crois que tu devrais lui laisser un peu d’espoir. Je suis sûr que, malgré tes dénégations, il nous croit amants. Cela le rassurerait mais ne nous empêcherait pas, tant que tu es ici, de nous aimer.— Cela me fait mal au cœur, mais je vais faire comme tu dis. J’avais peur que tu ne comprennes pas.— Et même, donne-lui quelques preuves, un baiser par exemple.— Tu es machiavélique, et c’est peut-être pour ça que je t’aime. Le lendemain, sortant de l’école, j’ai vu Guy sortant de la maison sans trop se cacher. Les enfants l’ont vu aussi et me l’ont fait remarquer. Hélène allait me quitter. Quelques jours plus tard, la neige ayant un peu fondue, Hélène et ses enfants ont regagné leur maison. Ces derniers voulaient rester à tout prix. Un jour, j’ai croisé le maire, nous avons parlé. Puis il m’a dit : — Hélène est rentrée chez elle. Elle était bien pourtant, à côté de toi.— Oui, mais la situation était embarrassante, je craignais que les gens pensent qu’elle était ma maîtresse. Aussi elle est partie dès qu’elle a pu.— Tu as raison, tout le monde vous croyait en couple, mais plus maintenant.— Et pourquoi ?— Tu es le dernier au courant, il est vrai que tu n’es ...
... pas du village. Guy l’a demandée en mariage et elle a accepté.— Eh bien, je la vois tous les jours et elle ne me l’a pas dit. Merci de m’avoir informé. En rentrant, j’ai demandé à Hélène si ses enfants étaient au courant. Elle m’a dit qu’elle leur avait dit en leur interdisant d’en parler. Ainsi elle était certaine que tout le village serait rapidement informé. Un samedi, Hélène, devant plusieurs personnes, m’a annoncé son prochain mariage. Je l’ai félicitée chaleureusement lui souhaitant beaucoup de bonheur. Nous étions toujours amants, et elle voulait profiter de moi jusqu’au dernier jour. Je correspondais toujours avec Catherine. Les vacances de Pâques approchaient et elle m’a demandé si elle pouvait me rendre visite. Mon remplaçant viendrait visiter la région. J’ai souri comprenant qu’elle venait m’annoncer la fin de notre idylle. Ils sont arrivés le deuxième jour des vacances. Le temps était clément, du moins pour moi qui ai passé l’hiver ici. Pourtant eux étaient gelés. Je les ai reçus et leur ai montré leurs chambres. Le soir, ils n’ont pas fait lit commun, mais elle n’est pas venue partager le mien. Après le dîner, Catherine m’a attaqué : — Tu as une jolie voisine, elle vient tous les jours faire le ménage et même peut-être la nuit ?— Tu as raison, elle a passé l’hiver ici, mais tu fais totalement erreur. Elle se marie dans quinze jours avec l’un des plus gros propriétaires du village. Elle sera tranquille et n’aura plus à faire des ménages. Ma réponse l’a désarçonnée. ...