L'instit
Datte: 19/07/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
initfh,
f+prof,
... le parcours étant trop risqué. Hélène ne devait pas sortir, alors c’est moi qui suis allé promener les enfants. Nous vivions comme une véritable famille. Un soir, dans nos discussions, Hélène m’a avoué qu’elle redoutait de rentrer chez elle, seule. Je l’ai convaincue de rester tout l’hiver ici. Elle s’est levée et m’a embrassé bien avant l’heure du coucher. Je me suis redressé, l’ai serrée dans mes bras. Nos bouches se sont rencontrées et nous nous sommes vraiment embrassés. Que s’est-il passé après ? J’ai gardé le souvenir d’une merveilleuse nuit d’amour dans ma chambre. Elle n’avait pas connu d’homme depuis la mort de son mari, deux ans auparavant. Vers deux heures, elle a regagné son lit. La vie continue comme avant. Avec Catherine nous échangeons toujours des courriels mais moins souvent. Elle me parle beaucoup de mon remplaçant et je comprends qu’il a pris ma succession à l’école mais aussi dans son lit. Ma foi, moi aussi je l’ai remplacée. Car maintenant, avec Hélène, nous nous aimons souvent en prenant beaucoup de précautions à cause des enfants. Je suis amoureux d’elle et lui ai proposé le mariage. Elle a refusé énergiquement, j’avais une fiancée. Je lui avais parlé de Catherine, et elle pensait que c’était elle. Mais je savais que cette dernière m’avait remplacé. Son nouveau condisciple occupait toute ma place. Dans ma tête, c’est vers Adeline que se dirigeaient mes pensées. J’ai fait une recherche sur internet dans le département. J’ai eu un grand nombre de Jean ...
... Martin. J’en ai appelé quelques-uns, mais j’ai rapidement renoncé. Surtout s’ils avaient aménagé dans un autre département. Plusieurs fois, en rentrant à midi, j’ai croisé un homme qui semblait sortir de la maison. J’ai reconnu un gros propriétaire du village d’une quarantaine d’années, célibataire, assez sympathique. Il venait voir Hélène en mon absence, probablement pour la baratiner. Le soir, j’ai renouvelé ma demande en mariage, elle a toujours refusé résolument. Ce qui ne nous a pas empêchés de nous aimer follement. Après l’amour, je l’ai attaquée. — Pour quelle raison ne veux-tu pas m’épouser.— Non, cela te ferait deux enfants à charge, et puis je suis vieille, j’ai deux ans de plus que toi.— Tu préférerais un homme un peu plus vieux, dans les quarante ans et qui ait les moyens de subvenir à tes besoins ? Elle est restée silencieuse un moment. Puis elle a reconnu : — Michel, ne te fâche pas. Tu as raison, Guy vient souvent me voir quand tu n’es pas là. Au début, il m’a demandé si j’étais ta maîtresse. Tu penses bien que je ne l’ai pas avoué, au contraire j’ai protesté avec violence. Rassuré, il m’a demandé ma main. Je ne lui ai pas répondu.— Hélène, je comprends ton embarras. Il est normal que tu songes à l’avenir de tes enfants. J’ai demandé ma mutation dès que je suis arrivé ici. Il se pourrait que je sois nommé en ville à la fin de l’année ou l’année prochaine et si l’on était marié tu devrais me suivre. Or, tu es née ici, tu y as ta maison, cela te ferait beaucoup de ...