1. L'instit


    Datte: 19/07/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, initfh, f+prof,

    ... comprenait de vouloir rentrer chez moi, mais d’un autre côté on était ravi de me garder un an de plus. Autant fêter ça. Je n’avais naturellement rien préparé, ne m’attendant pas à une telle manifestation. Je leur ai dit que je les comprenais. Mais, leur dis-je, être seul, sans épouse ou compagne, c’était difficile à vivre, surtout en hiver. Puis on a servi un apéritif, cuit des côtelettes et saucisses sur le barbecue. Au mois de juin, il fait bon, les journées sont longues et pourtant j’ai regagné mon lit avant la nuit. J’étais ivre de bonheur, mais surtout d’alcool. On a dû m’aider pour aller me coucher. Il paraît que les réjouissances ne se sont terminées que tard dans la nuit. Le lendemain matin je me suis réveillé avec la gueule de bois. J’avais décidé de partir de bon matin pour arriver avant le déjeuner. Mais j’avais du retard, afin de reprendre un aspect à peu près normal. J’avais informé Nadine de mon retour et lui avais indiqué que je passerai la voir. Elle a exigé que je vienne loger chez elle en attendant de trouver un point de chute. Elle était toujours célibataire et comptais bien le rester encore longtemps. Mais elle m’a dit que, ma foi, pour quelques jours, elle accepterait d’abriter un homme esseulé. Je suis donc allé déposer la clé de mon logement chez le maire. Il m’a invité, ou plutôt ordonné de rester pour déjeuner. Les mêmes convives que lors de mon arrivée étaient rassemblés. Mais aujourd’hui, il n’était pas utile de me présenter. J’avoue que je ...
    ... n’ai pas fait très honneur au repas. J’ai pu enfin démarrer à deux heures, promettant de revenir bientôt. Quand je suis arrivé chez Nadine, j’ai reçu là aussi un accueil chaleureux. Elle aussi avait préparé un copieux dîner. Il a fallu que je lui raconte mes au-revoir au village pour qu’elle consente à me laisser jeûner. Mais par contre, elle a bien précisé que pour la suite, elle refusait toute excuse. Mais je n’y songeais pas. Elle était encore plus belle que la dernière fois où nous avions fait l’amour. Je ne me suis pas dérobé, d’autant que depuis mes adieux à Hélène, cela faisait trois jours que j’étais à jeun. La nuit a été éblouissante, elle m’a donné l’autorisation d’user de son corps de toutes les manières. Il y avait bien quelques temps que ne n’avais pas goûté au plaisir de Sodome et j’en ai profité. C’est à seulement à dix heures du matin que j’ai émergé. Cet après-midi je voulais rendre visite à la famille Martin, Ils avaient été si gentils et particulièrement Jean compréhensif avec moi. Mais surtout, je voulais revoir Adeline. À mon coup de sonnette, la porte s’est ouverte, c’est Isabelle, qui s’est présentée. Elle est restée quelques secondes sans voix. Puis elle m’a sauté au cou, j’ai compris que j’étais le bienvenu. Avec elle, nous avons discuté de la famille. William est à Toulouse, dans l’aéronautique. Marié, avait deux enfants, il attend le troisième. Je n’osais demander des nouvelles d’Adeline. Mais elle s’en est chargée. À trente ans, elle est toujours ...
«12...232425...30»