L'instit
Datte: 19/07/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
initfh,
f+prof,
... dont j’avais apprécié la saveur ? — Alors, tu veux m’ignorer, dit-elle en riant. Se redressant, elle m’a plaqué deux baisers sur les joues.— Vous devez vous tromper madame, je cherche une gamine assez plate, un fruit vert, pour tout dire.— Eh bien moi qui pensais te plaire encore aujourd’hui.— Tu ne me plais pas, tu me combles, tu me donnes des idées pas très catholiques.— Ah, bon, de mon côté je craignais voir arriver un échalas maigre, mais tu as pris de la taille et du poids ! Durant tout le repas nous nous sommes raconté nos histoires. J’ai même ajouté tous les détails que j’avais tus à ses parents. Elle en a ri et m’a indiqué qu’elle avait testé quelques mecs, mais tous l’avaient déçu. Nous retrouvions notre vieille complicité. — Lors de notre dernière conversation que ton père a interrompue, j’essayais de serrer deux moitiés de citron. Maintenant, si je me retrouvais dans la même situation, j’en aurai plein les mains.— Il ne dépend que de toi de le vérifier.— C’est une proposition qui m’enchante, mais le lieu ne se prête pas à ce genre de contact.— Je pourrais te faire visiter ma chambre, elle a une entrée indépendante et nous pourrions discuter plus tranquillement.— J’accepte avec grand plaisir. Nous avons rejoint discrètement son logement, sans nous faire repérer par sa mère. Elle ne serait probablement pas opposée à une relation, mais je ne voulais pas qu’elle se fasse d’illusion à l’avance. Car je me suis rendu compte qu’Adeline était la seule femme que j’aie ...
... jamais aimée. Mais qu’en serait-il de ses sentiments envers moi ? Je me trouvais au fin fond de la cambrouse dans le froid alors qu’elle était confortablement installée chez ses parents, sans souci. À peine entrés dans la pièce, elle a repris où nous nous étions arrêtés il y a quinze ans. Baiser et mains sur les seins. Mais tout avait changé. Ce n’était plus un baiser timide, et je n’enserrais pas des citrons, elle avait une sacrée technique et moi plein les mains. Nous avons fait l’amour sans préambule. Mais notre union a duré longtemps, jusqu’à ce que notre plaisir éclate simultanément. Puis, nous nous sommes racontés. Elle avait une vie insipide. Elle connaissait parfaitement son travail à l’hôpital et le faisait presque par routine. En dehors de cela, la famille, les sorties en boîte les week-ends quand elle était libre, suivi quelquefois d’une copulation pas toujours intéressante. Ses parents lui avaient raconté en gros mon histoire, mais elle a exigé des explications, surtout sur mes rapports avec la gent féminine. Je lui ai expliqué que cette année je me retrouverai bien seul, Hélène ne venant plus assurer le ménage, et le reste. Mais tout de même je suis content d’être là-bas, malgré les rigueurs de l’hiver, j’apprécie l’amitié de tout un village. Adeline m’a écouté, souriant quand je parlais de mes amours. Lorsque j’ai évoqué le manque de personnel médical, elle a été surprise. Pas d’infirmière à proximité du village ? Nous nous sommes aimés une nouvelle fois, puis ...