1. Escapade


    Datte: 15/05/2018, Catégories: hh, hbi, hplusag, jeunes, inconnu, complexe, bizarre, telnet, volupté, hsoumis, cérébral, Oral hsodo, init,

    ... toujours, et j’étais comme un bijou. Comme son bijou à lui. Il soupirait et je sentais son souffle chaud contre mon épaule. C’était un soupir de bonheur et j’étais heureux de lui faire plaisir. Je me cambrai un petit peu pour que ses caresses vinssent découvrir mes fesses. Il semblait très attiré par mes fesses. Il vint les caresser, puis les masser. Sa poigne était puissante, c’était comme si mon corps ne m’appartenait plus. Je ne me sentais plus femme : j’en étais une, tout simplement. J’avais l’impression d’être un trésor, d’être une merveille du monde. Je le rendais fou. Je me sentais incroyablement attirant. Je me mis aussi à le caresser, un peu par obligation au début. C’était étrange, très étrange. À travers ses habits, je sentis un corps robuste, carré, un peu grossier. Rien à voir avec ce que j’avais connu jusqu’alors. Je me mis aussi à caresser son bras droit, qui était bouillant. Je sentais ses poils défiler sous la paume de ma main. C’était comme un terrain interdit ; je me sentais intrus. Comme si la nature n’acceptait pas que mon corps ne touchât le sien. Mais je me moquais de la nature. Je pris un plaisir fou à défier ses lois. J’entrai en terrain interdit et y restai. Il se retira alors et commença à se déshabiller. Il enleva son pull et son tee-shirt jusqu’à ce qu’il se trouvât torse nu. De mon côté, je restai figé. Je n’osai plus bouger, encore une fois, comme si chacun de mes gestes avaient été un crime. J’avais envie de sentir à nouveau son corps contre ...
    ... moi, mais je ne pouvais pas bouger, je ne pouvais pas aller vers lui. Nous nous regardâmes alors dans les yeux pour la première fois. C’était un autre homme, il était très sérieux, et son regard était vague. Nos yeux se découvrirent ainsi un léger moment, sans bouger, sans changer, avant de se séparer à nouveau. Il eut un petit sourire gêné, et puis revint vers moi. Il me prit à nouveau dans ses bras. La danse reprit. Nos corps se remirent à se frotter langoureusement. Son torse était libre, clandestin dans cette pièce et devant moi. Son odeur aussi était étrange, une odeur de mâle. J’avais l’impression d’être avec moi-même, avec l’ancien moi, celui qui était un homme. Ce qui m’impressionnait le plus était la bosse rigide que je sentais sous son pantalon. Jamais je n’avais imaginé que ce fut si puissant, si chaud, si gros. C’était vraiment électrisant. Pour ma part, c’était aussi un peu dur, mais à vrai dire assez peu. Un peu comme si mon corps avait compris que cela ne servirait à rien. Il commença à déboutonner ma chemise. Je le laissai faire mais j’avais peur. Mon unique et seule préoccupation, à ce moment, était de lui plaire et je ne voulais pas le décevoir. Ses mains descendaient de plus en plus bas et, petit à petit, mon corps se découvrait. Je me cachais du mieux que je pouvais avec mes bras : j’avais honte de mes poils, j’aurais aimé ne pas en avoir. J’avais peur qu’il trouvât ça grossier. Mais après avoir ôté ma chemise, il écarta mes bras, doucement mais fermement. ...
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