Escapade
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
hh,
hbi,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
complexe,
bizarre,
telnet,
volupté,
hsoumis,
cérébral,
Oral
hsodo,
init,
... Je me pliai à sa volonté. Il me caressa alors partout, avec ses deux mains en même temps, en me regardant avec des yeux avides. C’était grandiose. Je me tordais sensuellement. Ma pilosité avait momentanément disparu et j’eus la nette impression d’avoir un corps de rêve. À partir de ce moment, j’étais entièrement en confiance, je n’avais plus aucune gêne. Le monde entier avait changé, lui aussi. Il n’y avait plus que nous deux, ce canapé, la télévision, et les bibliothèques. Tout autour de nous régnait une atmosphère mâle ; l’air était baigné de sueur masculine, d’une odeur sensuelle et virile, on pouvait presque la palper. Maintenant que j’étais certain de lui plaire, maintenant que je me sentais réellement désirable, je n’avais qu’une envie : le surprendre. Je me penchai alors pour commencer à déboutonner son pantalon. Je sentis à ses soupirs soudain plus puissants qu’il appréciait mon attention. J’avais l’impression de détenir la clef du bonheur de cet homme entre les mains, d’avoir un pouvoir enchanteur dont je pouvais user comme bon il me semblait. Et je comptais m’en servir. Je voulais lui faire plaisir, qui qu’il fusse. Mais ce n’était pas tout. J’étais pris d’une fureur qui faisait que j’en voulais toujours plus. Je voulais qu’il m’aimât, je voulais qu’il me trouvât merveilleux, qu’il me vît comme le plus parfait des amants. J’étais prêt à tout pour ça. Je me retrouvai nez à nez avec son caleçon. Je pris un moment pour l’observer, enchanté, puis posai une main dessus. ...
... Mon corps entier défaillit. Cette rigidité puissante, cette chaleur étourdissante, cette forme cylindrique titanesque : tout m’impressionnait, comme si je n’en avais jamais vu ni touché de ma vie. J’empoignai ce totem de la virilité. Je sentais la puissance de la machine battre son plein sous le tissu fin. J’avais l’impression de lui être entièrement voué. « Ah, Benjamin… Suce-moi… » La demande ne me surprit même pas : c’était comme si je l’avais attendue depuis bien longtemps. Je me couchai un peu plus pour me sentir plus à l’aise. J’avais besoin de me sentir au niveau de cette chose, qui me fascinait de plus en plus. Le moment tant attendu arriva : j’abaissai le caleçon. Le sexe de Jacques apparut devant mes yeux, libérant autour de lui sa chaleur invraisemblable. Il se dressa entre mes yeux, immense, écrasant. Plus je le regardais et plus je faiblissais. Je le pris dans ma main : sa peau était merveilleusement douce, mais c’était comme s’il allait exploser. Je sentais sous elle la vigueur des flux de sang. Comme si c’était la chose la plus naturelle qui fût, je commençai à lécher ce sexe. Il n’y avait alors plus rien autour de moi. Je tournai la langue, je léchai la chaleur et touchai la puissance, j’accédai à l’interdit. Le gland, tout en haut, dominait mon corps, je le frottai contre ma joue, c’était un baiser du diable, encore chaud. Mes mains allaient et venaient, côtoyaient les poils, la peau douce et le muscle ferme, la virilité m’envahissait. Mon esprit se troublait ...