1. Post-formation


    Datte: 15/05/2018, Catégories: fh, couple, extracon, fsoumise, hdomine, vengeance, jalousie, Masturbation Oral pénétratio, amourpass,

    Pour couper court à certains éventuels futurs commentaires : rien d’autobiographique dans cette petite histoire. Bonne lecture ! Je suis particulièrement content : ma formation s’est finie beaucoup plus tôt que prévu. De ce fait, je suis sur le chemin du retour qui me ramène chez moi auprès de ma petite femme, ma Nathalie. Durant toute la semaine, j’ai été plongé jusqu’au cou dans les joies des procédures Qualité en milieu pharmaceutique. Je n’en raffole pas plus que ça, mais c’est un passage obligé pour mon avancement. Je devais partir tôt le matin et rentrer tard le soir, car le lieu de formation était à cent cinquante kilomètres de chez moi, et les autoroutes très encombrées dès que je me rapprochais d’une grosse agglomération. Un jour, deux jours, ça va. Une semaine complète, c’est trop ! Ce vendredi après-midi, je roule à fond vers chez moi, la circulation est fluide, peu de personnes ayant fini leur semaine. Je n’ai aucune envie de repasser par la boîte, j’ai assez donné cette semaine ! Dans une demi-heure, je serai chez moi, avec ma petite femme, il ne sera même pas seize heures. D’habitude, je rentre plutôt vers vingt-et-une heures. Enfin, je suis arrivé ! Je pousse la porte, j’entends une musique, un slow, on dirait. Un truc des années 70-80, il me semble. Oui, je connais l’air, mais je n’en connais plus le titre exact. Ça semble venir du salon. Je m’y dirige. J’entre dans le salon, la musique se précise. Décidément, ce slow est dégoulinant à souhait, ça a dû ...
    ... faire des ravages durant cette lointaine époque ! Un truc qui a dû sûrement plaire aux natalistes de tout bord ! Je me souviens :Scorpions, Still loving you ! L’arme ultime de l’époque pour emballer les filles ! Soudain, je me fige… Là, par terre, sur le tapis en laine épaisse, deux formes nues ! Je cligne des yeux, j’ai peur d’avoir mal vu… Oui, c’est ça, j’ai mal vu ! La fatigue de toute cette semaine ! Je me frotte même les yeux, je les ferme un bref instant, puis je les ouvre à nouveau… Oh que non ! C’est bien sur MA femme que ce sale type est vautré, et il n’y va pas de main morte pour la pistonner ! Et MA femme ne se lasse pas de pousser des tas soupirs que je ne lui ai jamais entendus ! Je serre les poings, je serre les dents, je suis en rage, j’attrape la première chose qui me tombe sous la main, un gros truc lourd ! C’est alors que, ouvrant soudainement les yeux, ma femme découvre ma présence ; elle pousse un petit cri disloqué très étrange… — Ah ouais, t’aime ça, hein, ma salope ! s’exclame le sale type toujours vautré sur elle.— Ah… ah n-n-non !— Ah mais si, ma belle pute ! Ce seront ses derniers mots. L’instant d’après, il roule sur le côté, les bras en croix, totalement hors service. Nathalie est tout interloquée, me fixant la bouche grande ouverte. Puis, prestement, elle se dégage et va se blottir au pied du canapé. — D-Didier… tu… t-tu fais quoi là ?— Comme tu vois, je suis rentré, un peu trop tôt à ce que je vois !— Mais t-tu, tu ne devais pas rentrer avant…— Je ...
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