1. Post-formation


    Datte: 15/05/2018, Catégories: fh, couple, extracon, fsoumise, hdomine, vengeance, jalousie, Masturbation Oral pénétratio, amourpass,

    ... lève lentement et je vais voir de plus près de quoi il en retourne. — M-merci… dit une toute petite voix dans mon dos. Je ne réponds pas, désabusé. C’est alors que je découvre avec quoi je l’ai frappé : le pied en fonte de la grande lampe halogène git sur le côté. Je comprends mieux pourquoi il a valsé ainsi sur le côté. Je me penche sur mon rival : nez en l’air, il a en effet une expression peu engageante, les yeux révulsés, la bouche béante. De ma main, je fais pivoter délicatement sa tête. J’esquisse une grimace : c’est très mal barré ! Juste derrière l’oreille, son crâne est ouvert en deux, et j’ai une vue imprenable sur sa cervelle toute rose ! Je regarde mieux : le spectacle n’est guère mieux, on dirait presque une boîte de conserve à moitié ouverte. Bref, rien d’engageant. Peut-être qu’il n’est pas encore mort, peut-être qu’en intervenant tout de suite, peut-être… Mais l’hôpital est loin, trop loin. De plus, vu son état, je risque de me retrouver devant un juge, et sans doute derrière les barreaux, même si ce salaud tronchait ma femme chez moi. Avec froideur, sans état d’âme, je prends alors ma décision. Néanmoins, pour donner le change, je prends son pouls : rien. Je pose mon oreille sur sa poitrine : toujours rien de rien. Finalement, j’ai bien fait. Je me relève. J’entends une petite voix me demander timidement : — Alors ? Je reviens vers elle. Elle me fixe de ses grands yeux mouillés. — Alors ? Je me retourne juste une seconde, comme pour avoir une vue ...
    ... d’ensemble, puis je viens m’asseoir à nouveau sur la table basse du salon. Elle me questionne : — T-Tu ne fais rien ? T-Tu es p-pourtant secouriste !— C’est justement parce que je suis secouriste que je ne fais rien.— M-Mais p-pourquoi ?— Parce qu’il n’y a plus rien à faire ! La bouche ouverte, les yeux écarquillés, elle me regarde, hébétée, elle déglutit péniblement : — T-Tu v-veux rire ?— Franchement, vu la situation, j’ai pas trop envie, tu vois ? Non, Nathalie, ton bonhomme est de ce qu’il y a de plus trépassé.— T-Tu mens ! Hein que tu mens ! Dis ! Je ne réponds rien, mais mon visage parle pour moi. Elle s’évanouit. --ooOoo-- Je repose la pelle dans un coin du garage. J’ai bien travaillé, on n’ira jamais chercher là où j’ai enterré le corps du dénommé Gérard. Je déteste ce prénom. Quant à ma femme, elle est allongée sur notre lit, toujours inconsciente, largement aidée par ce que je lui ai fait respirer par intervalle. Je vais dans la salle de bain me laver puis me changer. Je regarde le visage de l’homme qui me fait face dans le miroir. Un autre moi-même, plus le même. Quelque chose a changé en moi. J’avais écrit plein de choses sur le sable mouillé de la plage, mais en une seule vague, tout s’est effacé… L’homme dans le miroir a une étrange lueur dans le regard… Peu après, j’injecte un produit dans les veines de ma femme. Je pose la seringue sur la table de chevet. Je pense que mon plan est au point. Je ne sais pas si ça marchera, mais qui ne risque rien n’a rien. Nathalie est à ...
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