Post-formation
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
jalousie,
Masturbation
Oral
pénétratio,
amourpass,
... complètement, ses mains me cherchent, son corps tout doux me réclame. Je prends, elle donne. Alors je prends. Et je prends tout. En un rien de temps, elle n’a plus rien sur elle, mais je suis trop fébrile pour contempler son corps nu. Sans douceur, je l’agenouille devant le canapé, jambes écartées, elle se laisse faire docilement. Puis je l’oblige à se coucher sur le coussin, seins écrasés, cul en buse, offerte à ma convoitise bestiale. Je me plaque sur elle, mon sexe bien raide contre ses petites fesses, elle glousse. Je me penche, comme pour me coucher sur elle, mes bras encadrant son buste, j’incline la tête sur ses cheveux, cherchant son oreille que je mordille, une fois trouvée. Elle glousse à nouveau, ce son intrigant, excitant et agaçant. — Tu mérites d’être punie, juste pour l’exemple, pour te donner une petite idée de ce qui t’attend si tu enfreins mes ordres !— Pff, des promesses, rien que des promesses ! Pour toute réponse, excité par cette réponse désinvolte, je mords son lobe, elle crie. Puis, sans ménagement, j’empoigne ses cheveux que je tire en arrière, l’obligeant à lever la tête vers le plafond. Elle pousse un petit cri, mais ne se débat pas pour autant, soumise. Elle tend même ses fesses dans l’attente de la suite. C’est alors que je réalise que la femme qui est actuellement sous moi n’est plus tout à fait celle que nous, amis, famille et moi, côtoyons dans la vie de tous les jours… Je ne pensais pas vouloir faire ma vie avec une sainte nitouche, mais ...
... s’apercevoir que sa femme est une petite démone aux désirs troubles est justement troublant ! Alors, je me laisse aller, je glisse sur la pente savonneuse de mes désirs troubles. Sans ménagement, je me cale contre ses fesses et j’introduis ma barre durcie par le désir entre ses lèvres intimes. Son sexe est totalement détrempé, elle ruisselle. Je ne me suis jamais senti aussi puissant que ce jour-ci, ma bite semble avoir pris des proportions dantesques, infernales même. Je me sens capable de faire l’amour à ma catin de femme durant toute la nuit, la journée suivante, et même plus. Je m’enfonce férocement en elle sans plus de préliminaires, et je commence à lui faire sentir qui est le possesseur du manche, qui la domine, qui la possède. Au diable le respect et les tendres sentiments, je veux posséder, je veux tout m’accaparer d’elle, tout prendre et ne rien laisser derrière moi, sauf ruine et désolation. Elle gémit tandis que je la pistonne sans relâche. J’ai envie de m’enfoncer plus loin encore en elle, de l’ouvrir en deux, de la ravager. Elle se cabre, accompagnant chacun de mes défoncements, comme pour mieux m’absorber en elle. Déchaîné, je tire plus encore sur ses cheveux, elle crie. Je veux la transformer en une poupée disloquée, la piller, la détruire même, sans pitié ni remords. J’attrape son sein qui balance sous les coups de piston dont je défonce son vagin, je le serre bien pour en éprouver toute la masse, la fine peau, son doux volume. Tirer dessus, le lui arracher pour ...