1. Le fétichisme angora mohair pour les nuls


    Datte: 19/07/2017, Catégories: confession,

    Je vous sens interloqué. Comment devient-on fétichiste des femmes portant des pulls en angora ou en mohair ? Ça existe ce genre de perversion ? Apparemment, on est peu nombreux, en plus les filles ne sont pas affectées de fétichisterie et autre cochonseté… Tout d’abord, Il ne s’agit pas, comme Mikael Keul sur Canal+, d’enculer un mouton parce que sa laine est douce ! Non, point de zoophilie là-dedans. Pour commencer, le mohair est la laine de la chèvre angora, pas d’un mouton et les chèvres sont réservées aux légionnaires, des gars surentraînés dont il convient de ne pas provoquer la jalousie. L’angora est la laine des lapins du même nom. Ce sont des laines aux fibres très fines, chaudes et respirantes. Généralement très douces, surtout l’angora. Je vais vous expliquer mon cas particulier. Donc, Freud dirait que la recherche du doux contact d’une laine dans l’amour relève de l’Œdipe et que la mère s’est montrée peu maternelle pour son enfant d’où sa quête de douceur. Pourtant, j’ai le souvenir d’une maman chaleureuse. Se pose alors la question d’avant mes souvenirs. Il est vrai que, contrairement à mon aîné, il n’y a aucune photo de moi avant l’âge de quatre ans. Dépression postnatale ou panne de l’appareil photo ? Petit, j’avais une robe de chambre en laine des Pyrénées. Elle était moche, mais assez douce. Lorsqu’elle me fut trop petite, elle est devenue mon doudou. La puberté arrivant, je la serrais contre moi comme si c’était une fille et j’avais le kiki tout dur. Un ...
    ... soir, je me suis endormi comme cela et dans la nuit je me suis réveillé dans les spasmes d’un plaisir intense agitant mon bas-ventre. J’y portais les mains, horreur, je me pissai dessus. J’allumai la lumière et constatai un liquide blanchâtre sur mon ventre et la robe de chambre. Je venais de jouir, de me juter dessus disait-on entre mômes et c’était terriblement bon. J’appris donc à me tirlipoter avec assiduité. Si vous lisez ce qui suit, mesdames, soyez indulgentes de l’ignorance du petit con que j’étais en ce début des années 70. Famille catho, école libre pas encore mixte, on savait peu de chose des filles. Faire l’amour c’était leur juter dedans en les enculant, paraît-il. Étymologiquement leur mettre la kique dans le cul. C’était pas très émoustillant. Ignorant leur anatomie, on imaginait leurs fesses s’ouvrir sur un cloaque par où elles faisaient leur besoin et où par je ne sais quelle alchimie elles faisaient les enfants après qu’un mâle les ait tourmentées. On comprend que Marie soit restée vierge… Pourtant, je désirais me trouver dans leur bras, ceux de ma prof de musique ou ceux de la prof d’histoire-géo, par exemple, on choisit ce que l’on a sous les yeux. Jolies comme elles étaient, elles devaient bien se douter de ce qu’il leur arrivait dans nos pensées d’ados boutonneux. Des magazines cochons circulaient en secret. On y voyait de superbes créatures dénudées. Des seins somptueux, des culs formidables, quelques poils, mais pas davantage. Quand on avait la chance de ...
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