1. Le fétichisme angora mohair pour les nuls


    Datte: 19/07/2017, Catégories: confession,

    ... ou non éjaculateur précoce). Ça ne m’empêche pas de faire des détours pour voir les devantures, j’aimerais tant toucher un de ces pulls. Comment vous expliquer mon attrait délirant pour ces caressants tricotages. Connaissez-vous le prélude de la Traviata de Verdi ? C’est tout en finesse, en douceur, très romantique, léger et grave à la fois : c’est l’illustration, pour moi, de la vision d’une charmante femme avec un joli pull ou cardigan en angora. Puis vient le chant :« Libiamo, libiamo ne’lieti calice Che la belleza infiora ! » C’est enlevé, festif, trinquons, dégustons, on partage avec émotion : c’est tenir la belle ainsi vêtue dans ses bras et la caresser… Quelle meilleure définition vous donner de mon fétichisme… toujours pas réalisé à l’époque. J’ai un peu plus de chance, lors de mes retours, avec les filles, pardon, passé 20 ans, ce sont des jeunes femmes. Mon petit côté « aventurier » peut-être ? Tu n’as pas peur de partir aussi loin tout seul ? Tiens au fait, la cousine de Marie-Ange ne sera jamais dans les magazines. Elle est morte un samedi soir au fond d’un ravin, passagère d’une R5 Alpine ! Comme quoi, l’évaluation des risques… Ces amours ne durent que le temps de l’escale. Cette fois, elle s’appelle Sandra. Elle me plaît beaucoup. Ce soir, je prends ma vieille 500 pour aller à la ville. J’entre dans une boutique. La vendeuse s’interroge sur ma présence. Un motard casque à la main, ici ? Moi pas très à l’aise : — Je voudrais offrir un pull à ma fiancée !— Heu, ...
    ... oui, il paraît que ça se fait ! Elle s’informe de la taille de ma dulcinée, me montre plusieurs modèles, celui qu’elle porte lui va à ravir d’ailleurs. Mais c’est très cher, je ne peux me permettre qu’un 70% angora moins aguichant qu’un 100%, mais très mignon avec un col en V bordé de dentelles. Paquet cadeau. Sandra est toute surprise et ravie du pull qui lui va, je vous dis pas. Je lui demande de se déshabiller et de le remettre. Elle fait sa timide, celle qui a peur à demi nue du grand méchant loup, celle qui dit non, mais en redemande. La douceur de sa peau sublimée par le lainage soyeux est une merveille. Je la serre fort contre moi. Heureusement, elle est plutôt clitoridienne et je lui fais monter le plaisir de mes doigts et de ma langue pour l’amener au ciel, car je suis si excité que je me répands en quelques allées et venues lorsque je la pénètre. La levrette qui suivit fut mieux maîtrisée. Quelle splendeur que sa chute de rein, que sa fente écartée avec sa rosace et mon gourdin limant son sexe humide, que ses hanches sous l’angora que mes mains caressent en remontant vers sa poitrine qui ballotte sous les va-et-vient… Bon elle finira par s’apercevoir que le cadeau était intéressé et si au départ sa présence dans nos ébats l’a émoustillée, elle a fini par se lasser. Sauf qu’un jour, on passe devant une boutique affichant : soldes avant fermeture (la mode a fait long feu). Elle m’entraîne dedans et en fouinant parmi pas mal de modèles pour vieilles rombières, elle ...