1. Six "sions" pour une scission. (3)


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Transexuels

    ... l’affût, à la gérante du bar. — Laisse tomber, répondit la patronne, c’est Jessica, notre nouvelle star, je fais salle comble pour la première fois, et tous les soirs, depuis sa prestation au milieu de la piste de danse la semaine dernière. Tu peux la baiser sur le bar si ça te chante, et que tu n’as pas peur d’être rejoint par un troupeau de mâles en rut, c’est un véritable aimant à queues, cette gonzesse. » Je n’en attendais pas tant. Ne voyant pas Monsieur revenir, je considérai que j’avais carte blanche, et m’allongeai directement sur le bar, dans la seule position qui laissait suffisamment de mou à ma laisse pour ne pas m’étrangler. Et l’homme en question s’approcha de moi, baissa son pantalon afin de découvrir son sexe déjà dur. J’ouvris la bouche, impatiente d’enfin sucer une queue depuis une semaine, et voilà que le show commençait. A peine sa queue ma limait-elle la gorge que j’entendais déjà la nouvelle se répandre : « Eh ! Les gars, c’est Jessica sur le bar, elle est open ! » Je vis même certaines femmes se retrouver seules sur la piste de danse, abandonnées par leurs partenaires qui accouraient vers moi, pantalon déjà déboutonné. Cela en faisait, du monde, huit ou neuf, au bas mot, et ma bouche seule ne serait pas assez rapide pour tous les contenter. Il fallait que mon cul entrât en action afin de doubler la cadence de production. Oui, j’étais une usine à bites, et j’aimais cette image que je me faisais de moi, chaudière à pleine puissance. La révolution ...
    ... sexuelle que je vivais depuis quelques semaines était simplement ma révolution industrielle à moi. Je descendis donc du bar face auquel je me positionnai, debout sur mes talons aiguilles, jambes tendues mais bien écartées, et me penchai en avant, la tête juste au-dessus du bar. De sorte que dorénavant, le stand sodomie se passerait debout, derrière moi, et l’atelier fellation allongé sur le bar, queue en l’air. C’est beau comme le langage du corps peut suffire dans le sexe. Tout le monde comprend tout sans parler, et mes partenaires peuvent garder leur salive pour me lubrifier la rondelle, ou proférer quelques insultes bien dégradantes qui sonnaient à mes oreilles comme une mélodie aussi douce que motivante. J’aimais cette position, elle me permettait de rendre utile chacun de mes mouvements alternatifs. Je m’enfonçai sur la queue qui m’enculait lorsque je reculais, m’appuyant sur le rebord du bar, puis la queue que je suçais me visitait la gorge lorsque j’imprimais le mouvement contraire, tirant de mes bras sur le bar. C’était du sport. Fatigant. Mais une fatigue dissimulée par quelques spasmes de plaisir anal, mêlés à mon goût naturel pour la pipe. Cela faisait plusieurs minutes que cet exercice durait. Je n’allais cependant pas fléchir. J’avais une réputation à tenir. Les hommes se relayaient des deux côtés du stade. J’étais leur terrain de jeu. J’en sentis un jouir sur mes fesses, puis s’exclamer en se retirant : « Alors tu vois ? J’ai bien battu la mesure, hein ? » C’était mon ...
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