1. Six "sions" pour une scission. (3)


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Transexuels

    ... poète aviné. « Ravie d’avoir pu aider, me dis-je alors dans ma tête. » Et j’eus un petit rictus tout en continuant ma fellation à un homme aux abdos tellement durs que j’avais parfois l’impression de me casser le nez lorsque j’allais trop loin. Les hommes se succédant, je commençais à sentir une douleur vive dans le cul. Ils étaient encore trois derrière moi, je ne tiendrais probablement pas la distance. Je commençai par ailleurs à perdre toute lucidité. Ils voulaient tous m’enculer. L’homme que je suçais était le dernier sur le bar, et voilà qu’il se mit à jouir dans ma bouche. J’avalai tout. Et alors que ma douleur anale se faisait de plus en plus sentir, et mon plaisir de moins en moins, je fermai les yeux, pour mieux faire passer la pilule. Je m’étais peut-être un peu trop enflammée. Voilà ce qu’il en coûte de se laisser prendre au milieu de la salle principale. On est à la merci de tous. Mais j’avais tellement besoin de sexe, et Monsieur m’avait laissée attacher, emportant la serrure dans sa poche… Je souffrais maintenant en silence, les yeux toujours fermés, ne sachant guère si d’autres hommes s’étaient ajoutés à la file d’attente. Quand soudain, des lèvres se posèrent sur les miennes. Elles étaient douces… et des mains tout aussi douces commencèrent à me caresser les joues. Mais c’étaient des mains de femme, ça !?! J’ouvris les yeux. C’était Lucille, surgie de nulle part. Debout de l’autre côté du bar, penchée sur le comptoir, son décolleté laissait paraître ses jolis ...
    ... seins écrasés sur la table. Je lui avais pourtant dit que je ne voulais pas être embrassée par une femme. Mais j’étais bien. Je ne retirai pas mes lèvres. J’ouvris même la bouche. Cette douceur à l’instant même où je commençai à ne plus supporter la virilité des hommes dans mon dos, me fit le plus grand bien. A vrai dire, il n’y avait plus qu’elle et moi dans la salle. Tout autour, c’était le néant. Nous nous embrassions langoureusement, je m’abandonnai complètement à elle, j’étais aux anges. Cela faisait près d’une heure que les bites s’enchaînaient dans mon cul. Je ne saurais dire combien y sont passées. J’avais mal, mais je m’en foutais. Et lorsque l’un d’eux éjacula, Lucille s’interposa entre le suivant et moi. « Je pense que c’est bon pour ce soir, dit-elle aux deux suivants, apparemment les derniers. Suivez-moi, je vais m’occuper de vous. » Et elle les accompagna dans une salle privée, après m’avoir donné un dernier baiser que je partageai avec fougue. La pauvre, pour la deuxième fois elle se sacrifie pour moi, et s’offre cette fois-ci à deux mecs. Pas beaux du tout en plus… Je remis mon string et redescendis ma robe, quand justement Monsieur réapparut, accompagné du couple avec qui il s’était éclipsé. Il avait probablement réussi à baiser la jeune femme, et l’homme les aurait regardés. « Eh bien, petite pouf, on dirait que tu viens de vider quelques couilles, à moins que tu ne te sois versé ton lait de coco dans les cheveux ? ah ah ! se moqua-t-il tout en me détachant. ...
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